Les anciens habitants du village quasi fantôme de Doel, qui ont vendu leur maison il y a de nombreuses années face au projet d’agrandissement du port d’Anvers, ont désormais la possibilité de la racheter car cette extension n’a pas eu lieu. lieu. Le gouvernement flamand a donné vendredi son feu vert à ce droit de rétrocession, a-t-on appris lundi.
Ce village de polders, qui abrite également l’une des deux centrales nucléaires du pays, a fait l’objet d’un accord en 2022 avec le gouvernement flamand pour garantir son habitabilité, après l’abandon d’un projet de mégaport à conteneurs. . Un quai supplémentaire sera construit, mais les quartiers d’Ouden Doel, Rapenburg, Saftingen et Oud Arenberg seront préservés.
Dans un premier temps, quelques dizaines de maisons vides seront rénovées. Vendredi, le gouvernement a autorisé la société chargée de la politique foncière de cette zone portuaire à proposer des logements aux personnes qui avaient alors vendu leur logement aux autorités. Il s’agit d’une douzaine de maisons contiguës au centre de Doel.
Certains de ces anciens habitants sont décédés. Ce sont donc leurs héritiers qui recevront l’offre. Les candidats intéressés pourront payer le montant qu’ils ont reçu des autorités à ce moment-là.
Par la suite, de nouvelles maisons seront libérées pour donner à la commune de Beveren la possibilité d’assurer des services publics. Parallèlement, quelque 6 millions d’euros sont disponibles pour rénover une quinzaine de bâtiments. Ils resteront propriété publique et seront loués ou utilisés comme logements temporaires.
Le village de Doel abrite une centrale nucléaire
