Après ceux d’Ubisoft, les salariés de Don’t Nod se mettent également en grève – Libération

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Jeu vidéo

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Dans la foulée de l’annonce d’un plan de licenciements qui menace 69 emplois, les salariés du prestigieux studio français sont appelés à faire grève contre la direction ce lundi.

Dix jours seulement après la grève historique de trois jours des salariés français d’Ubisoft, ce sont les salariés d’un autre acteur majeur du jeu vidéo français, Don’t Nod, qui s’apprêtent à débrayer ce lundi à l’appel des Travailleurs du Jeu Vidéo. Syndicat (STJV). Une contagion de la colère que l’on a senti poindre devant les portes du siège d’Ubisoft : « Parce que le jeu vidéo est considéré comme un métier de passion, les gens ont accepté beaucoup de choses, un attaquant a alors expliqué à Libération. Aujourd’hui, il y a un ras-le-bol général. La colère gronde parce que nous marchons sur les choses depuis trop longtemps. Il existe depuis très récemment des syndicats représentatifs et ils commencent à s’organiser. Les travailleurs du jeu vidéo commencent à comprendre qu’ils peuvent être défendus et ne plus tout accepter.

Symbol of “win” à la Macron

L’urgence chez Don’t Nod est due au plan de sauvegarde de l’emploi annoncé brusquement le 16 octobre par le PDG de l’entreprise, Oskar Guilbert. Jusqu’à 69 emplois seraient menacés, soit 25% de la population active française. Prenant note des ventes décevantes des récentes

 
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