l’entreprise s’oppose à une contribution de 10 millions d’euros par an

l’entreprise s’oppose à une contribution de 10 millions d’euros par an
l’entreprise s’oppose à une contribution de 10 millions d’euros par an

Brussels Airport se dit « tout à fait favorable au transfert modal » et demande davantage de liaisons ferroviaires, y compris des trains à grande vitesse, avec d’autres villes européennes.

Mais l’opérateur estime que ce n’est pas à lui de financer cette infrastructure ferroviaire avec un montant « substantiel » à verser chaque année. Il plaide également pour la suppression de la taxe Diabolo.

« Le financement de l’infrastructure Diabolo est assuré par un partenariat public-privé au niveau fédéral et ce n’est donc pas à l’aéroport de financer cette infrastructure ferroviaire. Cela ne fait pas non plus partie de l’essence de l’autorisation aéroportuaire», souligne Brussels Airport.

En revanche, l’aéroport ne fera pas appel auprès du Permit Litigation Council contre les restrictions d’exploitation mises en place dans le récent permis environnemental. Il faut d’abord avoir les conclusions de la procédure d’approche équilibrée, telle que prévue par la législation européenne, avant de pouvoir mettre en place d’éventuelles restrictions d’exploitation supplémentaires, explique-t-il.

« Il est important que cela soit fait à l’avance, de manière complète et correcte. Pour Brussels Airport, c’est la principale objection à cette autorisation, à savoir les restrictions d’exploitation très étendues en termes de bruit et de mouvements de vols”, conclut l’opérateur.

 
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