Stade de Brest. Les raisons d’une conclusion de match compliquée

Stade de Brest. Les raisons d’une conclusion de match compliquée
Stade de Brest. Les raisons d’une conclusion de match compliquée

Le Stade Brestois a dû concéder le nul contre un Stade Rennais inoffensif et attentiste pendant 75 minutes, mais qui a changé de visage grâce aux changements d’acteurs et de systèmes, lorsque les Ti-Zefs ont perdu le contrôle en fin de match. rencontre. Voici les raisons…

Des participants pas au niveau

Les engagements n’ont-ils pas été à la hauteur ou le choix d’inclure simultanément Doumbia et Faivre s’est-il révélé inefficace ? Une chose est sûre : même si l’entraîneur du Stade Rennais et son changement de système ont payé, les deux attaquants, qui n’ont certes pas eu beaucoup de temps pour s’exprimer, sont restés assez invisibles. Ce sont des joueurs de ballon, alors que c’est Rennes qui avait la possession en fin de match. “Ils ont su densifier leur environnement et leur terrain, on n’a pas su trouver les clés pour endiguer cette révolte rennaise qui éclatait, regrette Éric Roy. Pour rien incapables de nous adapter, nous avons dû les aspirer, les laisser venir et essayer de les contrecarrer. »

D’ailleurs, si Ludovic a payé ses efforts dans le match, Mama Baldé s’est montré moins incisive qu’à son habitude.

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La sortie de Pierre Lees-Melou

« Sa sortie a déséquilibré la structure de l’équipe » admet Éric Roy. On s’attendait à ce qu’après avoir joué 45 minutes contre Le Havre, il ait très bien joué 70 minutes. Il régule le milieu de terrain, rassure les défenseurs, libère ses copains qui peuvent mieux se projeter. C’est dommage qu’il n’ait pas été remplacé, même si l’on sait que Jonas Martin est plus efficace dans le rôle de relayeur que de sentinelle.

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Brest recule

Le bloc a commencé à reculer. « Nous voulions fermer la maison. Ce n’est pas notre point fort, nous avons été punis. Nous avons toujours l’habitude d’attaquer, de harceler, Analyse de Hugo Magnetti.

Utiliser l’intensité jusqu’au bout, c’est l’ADN de Ti-Zef et la philosophie de jeu d’Éric Roy. Cependant, force est de constater que le Stade Brestois n’a pas eu la maîtrise qu’il a habituellement en fin de match. C’est le côté négatif de ce match au contenu par ailleurs satisfaisant.

 
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