Hermès cultive le succès et l’assurance, Kenzo envoie ses couleurs, comme plus de garçons pour hommes défendent la paix… Sur les défilés de l’homme de l’automne 2025-2026, chaque créateur donne sa vision du temps.
Au milieu de l’opinion de grands coûts qui frappe l’industrie du luxe (contexte économique tendu et une fenêtre de transfert des directeurs artistiques plus qu’agitées), une femme échappe aux rumeurs et ralentissement de la croissance: Véronique Nichanian. En effet, Hermès Allez bien, très bien. Et la Française, à la tête des collections masculines du Sellier depuis 1988, bénéficie de la sécurité de l’emploi. Il faut dire que son prêt-à-porter se vend, mieux que jamais, probablement parce qu’elle sait ce que veulent ses clients et, par extension, ce que veulent les hommes. À savoir, les vêtements dans lesquels ils se projettent eux-mêmes, avec ce qui est nécessaire pour le design et les détails soignés, chic et sans (trop) filets… « Je crois, au fil des ans, avoir affirmé un style, Elle explique dans les coulisses. Mon objectif est de faire un vêtement en ligne avec notre temps protecteur et réconfortant. Je veux habiller les hommes en leur offrant un vestiaire dans lequel ils se sentent bien. Hermès ne bouge pas…
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