Luc Poirier et son épouse Isabelle Gauvin ont l’habitude de faire parler.
Qu’ils soient critiqués pour leur style de vie extravagant ou pour leur participation à la série Vie$ de rêve, le couple demeure au cœur des conversations au Québec.
Mais cette fois-ci, Poirier a frappé fort en répondant aux détracteurs qui accusent son épouse de « flasher » leur richesse.
Sa réponse ? Déguisez-vous en Père Noël et distribuez des cadeaux… tout en conduisant votre Ferrari.
Depuis le début de la diffusion de Vie$ de rêve sur Crave, Isabelle Gauvin est devenue une cible facile pour les critiques.
Incendier votre épicerie en Ferrari ? Un luxe que beaucoup voient comme une provocation.
Certains reprochent même à Luc Poirier d’avoir changé : auparavant discret sur sa fortune, il se laisse désormais influencer par son épouse, adoptant une attitude plus « nouveau riche qui vante son argent ».
Dans un Québec où l’humilité face à la richesse est valorisée, ces choix ne passent pas inaperçus.
« Avant, Poirier était un gars terre-à-terre, proche des gens. Maintenant, on dirait qu’il veut nous narguer avec son argent. pouvait-on lire sur les réseaux sociaux.
Fidèle à son style, Luc Poirier a choisi de répondre à ces critiques avec une ironie mordante. Déguisé en Père Noël, il a pris le volant d’une de ses nombreuses Ferrari pour répondre qu’il fera ce qu’il veut de sa vie… et sa femme aussi.
Cette démonstration spectaculaire a rapidement fait le tour des réseaux sociaux. Si certains saluent son initiative, d’autres y voient une manière détournée de remettre les choses sur les rails.
De son côté, Isabelle Gauvin ne s’excuse pas pour son train de vie. Dans une récente entrevue, elle a défendu son choix de participer à Vie$ de rêve, expliquant vouloir briser les tabous autour de l’argent.
« Oui, je fais mes courses dans une Ferrari. Mais je travaille dur et je ne vois pas pourquoi je devrais le cacher », a-t-elle déclaré.
Pour Isabelle, le luxe est une conséquence de leur réussite, mais pas une fin en soi.
Elle insiste également sur le fait que leur famille reste attachée à des valeurs simples :
« Nous avons des Ferrari, mais nous impliquons nos enfants dans des activités bénévoles. Ils savent que rien ne tombe du ciel. »
Luc et Isabelle ne sont pas du genre à s’excuser de leur réussite. Au contraire, ils revendiquent leur droit de vivre comme ils l’entendent, même si cela déplaît à certains.
Pour Poirier, ces critiques reflètent un malaise plus large au Québec concernant la richesse.
Ici, si vous réussissez, vous êtes critiqué. Si vous échouez, vous êtes également critiqué. Alors autant réussir et en profiter. C’est ce que nous diraient Poirier et sa femme.
Malgré les critiques, le couple continue de s’impliquer dans des causes sociales. Luc Poirier est reconnu pour son engagement auprès de la Fondation Christian Vachon et pour sa participation à des événements caritatifs tels que le Grand Tour d’écoles.
Mais cette générosité est souvent éclipsée par leur goût du luxe. Lors de son passage dans Vie$ de rêve, Isabelle Gauvin a déclaré vouloir montrer « qu’au-delà des Ferrari, il y a une vraie vie, avec des valeurs et des responsabilités. »
Une déclaration qui peine à convaincre leurs détracteurs.
En se déguisant en Père Noël dans sa Ferrari, Luc Poirier a voulu transformer une critique en opportunité. Mais cette initiative, aussi bâclée soit-elle, divise encore l’opinion.
Pour beaucoup, cela ne fait que renforcer l’image d’un homme déconnecté des réalités des classes moyennes.
Luc Poirier et Isabelle Gauvin sont devenus des figures incontournables du Québec moderne, mélange de luxe assumé, de provocation et de philanthropie.
Aimez-les ou détestez-les, leur capacité à susciter de vives réactions est indéniable.
Avec sa Ferrari transformée en traîneau du Père Noël, Poirier a envoyé un message clair : il ne changera pas pour plaire à ses détracteurs.
Et dans un Québec où la réussite est souvent jugée, cette attitude à la fois provocatrice et assumée continuera de faire couler beaucoup d’encre.
Luc Poirier fait non seulement parler de lui pour son style de vie extravagant partagé avec son épouse Isabelle Gauvin, mais aussi pour ses déclarations percutantes qui continuent de secouer le Québec.
Autrefois considéré comme un héros potentiel pour ramener les Nordiques au Québec, Poirier est maintenant celui qui dit que le rêve est « mort et enterré ».
Et il n’hésite pas à enfoncer le clou en pointant du doigt Pierre Karl Péladeau, le magnat des médias qui a fait de ce projet une mission personnelle.
Lors d’une récente entrevue, Luc Poirier a déclaré ouvertement que Péladeau n’était pas la bonne personne pour amener une équipe de la LNH au Québec.
Pour quoi ?
“PKP étant PKP, ce n’est pas facile de faire affaire avec lui”, dit-il sans détour.
Selon Poirier, le mauvais caractère et les méthodes autoritaires de Péladeau compliquaient toute tentative de collaboration.
Il va même plus loin en affirmant que l’incapacité de Péladeau à s’entourer de partenaires solides est l’une des principales raisons pour lesquelles les Nordiques ne reviendront jamais.
« Ce n’est pas seulement une question d’argent. Il s’agit de leadership et de vision, et malheureusement, PKP ne coche pas toutes les cases. a-t-il ajouté lors de son apparition sur Radio X.
Pour rappel, Luc Poirier avait failli racheter les Coyotes de l’Arizona en 2017 pour les relocaliser au Québec. À l’époque, il avait réussi à lever une offre de 380 millions de dollars américains, soutenu par une banque et un milliardaire québécois. M.
Mais la résistance de la LNH et de Gary Bettman met un terme à ce projet ambitieux.
Aujourd’hui, avec la valeur fulgurante des franchises de la LNH – souvent estimée à plus d’un milliard de dollars – et les tensions internes autour de Péladeau, Poirier est catégorique : les Nordiques ne reviendront jamais.
Alors que Luc Poirier multiplie les déclarations, Isabelle Gauvin, son épouse, demeure une figure incontournable de cette dynamique. Malgré les critiques qui pleuvent sur leur relation, elle continue d’adhérer pleinement à leur style de vie.
Dans l’émission Vie$ de rêve, Isabelle a partagé un aperçu de leur quotidien luxueux, tout en promouvant les valeurs de simplicité et d’implication familiale.
« Les gens pensent que nous vivons dans une bulle de luxe, mais notre véritable richesse, c’est notre famille. » a-t-elle confié.
Mais Isabelle n’est pas qu’une spectatrice. C’est aussi elle qui encourage Luc à poursuivre ses rêves et à relever de nouveaux défis, même si certains, comme le retour des Nordiques, ont échoué.
Ensemble, Luc Poirier et Isabelle Gauvin incarnent une version moderne et controversée du rêve québécois : réussir avec brio, vivre sans complexes, mais s’attirer au passage une vague de critiques.
Pour certains, ils sont une source d’inspiration. Pour d’autres, ils symbolisent une déconnexion avec la réalité de la majorité des Québécois.
Alors que Luc Poirier s’affirme de plus en plus comme un homme d’affaires engagé et un critique impitoyable, il semble évident qu’il ne fera aucun compromis pour plaire.
Que ce soit en dénonçant Pierre Karl Péladeau ou en défiant les normes sociales en matière de richesse, Poirier trace sa propre voie – en Ferrari, bien sûr.
Luc Poirier est peut-être celui qui a déclaré la mort du rêve des Nordiques, mais il est aussi celui qui continue de bousculer les discussions au Québec.
Par ses critiques acerbes envers Péladeau, il brise tout espoir de voir une équipe de hockey revenir au Québec.
Pendant ce temps, Isabelle Gauvin, fidèle à son image, rappelle que leur véritable richesse va au-delà des biens matériels.
Mais soyons honnêtes : pour un couple qui revendique privilégier la simplicité, leur collection de Ferrari garée devant l’épicerie reste un symbole éclatant de leur différence.
Et c’est peut-être là leur plus grande réussite : rester eux-mêmes, quoi qu’en disent les autres.
Les Nordiques ne reviendront jamais ? Peu importe. Les Poirier-Gauvin avancent sans regarder en arrière.