Au cours de ces 3 jours et soirées marqués du sceau de l’exception et de l’excellence, Essaouira accueillera, entre autres invités vedettes, Cheikh Tidiane Seck, l’une des plus grandes figures de la musique malienne.
Compagnon de voyage de Hank Jones, Salif Keita et Wayne Shorter, nominé 4 fois aux Grammy Awards et improvisateur hors pair, Cheikh continuera à Essaouira à nourrir le jazz et le blues de ses irremplaçables luxuries mandingues.
Autre - fort de cette édition : le concert de Jullian Belbachir, batteur australo-marocain reconverti au luth ngoni, instrument cousin de la kora malienne. Jullian est tombé amoureux d’Essaouira, où il a élu domicile, reflétant et faisant écho aux grooves gnawa associés à des réminiscences brésiliennes et cubaines et une bonne dose de cordes mandingues.
Le Hong de Rolf Kissling.
Plus proche de nous, le luthiste Alaa Zouiten, basé à Berlin, a toujours rêvé de réunir la musique de ses racines maroco-andalouses avec celles du puro flamenco. A Essaouira, il sera accompagné de Naoufal Montasserre à la guitare et Antonio Moreno au cajon.
Hommage à Randy Weston
Last but not least, et sans oublier les jam sessions de smileys d’après minuit, pas comme les autres, cette édition hors du commun se clôturera en apothéose avec un hommage au pianiste afro-américain Randy Weston. Un hommage qui sera orchestré par le Grand Baobab de la musique malienne, Cheikh Tidiane Seck, entouré du meilleur de ses amis musiciens pour célébrer l’icône du Jazz qui a le plus donné aux racines africaines du Jazz et à la centralité du patrimoine et du répertoire Gnaouis. dans ces racines chez moi à Essaouira.
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