Vingt ans que P’tit Gibus existe. « Ouais, ça va vite. C’est en décembre 2004 que le journal de P’tit Gibus a vu le jour » s’enthousiasme Cécile Hunaut, conseillère séjours et événements à l’Office de tourisme du Pays de Laval, à l’origine de ce projet.
Ce petit magazine s’adresse aux enfants de 3 à 12 ans et paraît pendant toutes les vacances scolaires. Répertorie des idées de sorties et d’activités pour les enfants de manière ludique. Comment c’est devenu indispensable pour « parents et grands-parents ? Cette documentation est la plus téléchargée et la plus demandée pendant les vacances ».
« Fatigué de chercher des idées »
A l’époque, une jeune maman de deux filles, Cécile Hunaut » il en avait marre » pour chercher ici et là des idées pour occuper vos enfants pendant les vacances. ” Alors, avec mon équipe de l’époque, nous avons créé ce petit journal qui regroupe toutes les activités de Laval et de son agglomération. ».
En 20 ans, ce petit journal n’a cessé d’évoluer. Si le premier numéro ne proposait que 3-4 feuilles de papier blanc avec quelques lignes noircies, il est devenu en 2024 un véritable magazine d’une trentaine de pages, illustré en couleurs et proposant des coloriages, incluant des activités sportives et culturelles, des visites de musées, des croisières, etc. . ateliers. ” Soit une trentaine de propositions pour une vingtaine de prestatairesexplique Cécile Hunaut. Aujourd’hui, Adèle Dourdain s’occupe de l’aménagement et Hourya Sebbah se charge de contacter tous les prestataires avant les vacances scolaires.
Des cadeaux à gagner
Pour célébrer cet anniversaire, l’Office de Tourisme propose, du 10 au 30 décembre, de faire tourner la roue du Gibus et de tenter de gagner des cadeaux, dont une nuit en écolodge, un habitat insolite et écologique à Orbière, à La Forza.
Mais pourquoi un tel nom ? “ En hommage au film La guerre des boutons et le personnage de Petit Gibus, qui avait cette fameuse réplique : « Si j’avais su, je ne serais pas venu « . C’est un film que j’adore. Ce sont les figures de ces enfants qui ressortent. Il aurait tout aussi bien pu s’appeler Petit Nicolas.