Vainqueur en 2022 puis cinquième en 2023 de la deuxième édition du Polytrack Challenge, le Prix Luthier, Raj rapide il n’aura donc pas attendu longtemps pour inscrire à nouveau son nom au palmarès de ce palmarès hivernal. Récemment vice-champion de l’Irish River Prize (L.), fils deIffraaj Je ne pouvais pas remonter le - Mont Athos dernièrement. Les deux se sont rencontrés à nouveau mercredi, mais cette fois, le premier City avait un avantage de trois livres. Un facteur qui a tout changé. Souvent désigné comme l’arrière-garde, Raj rapide puis il a attendu la dernière ligne droite pour placer sa fameuse accélération dévastatrice. Résultat des jeux, une longueur qui reflète sa supériorité dans les passes de rondelle. “Je suis très content, car c’est la mascotte de l’équipe”s’exclame son mentor, Yann Barberot. Son chauffeur du matin, Quentin, m’a dit qu’il était au meilleur de sa forme. Il pourra ensuite passer sa licence d’entraîneur (rires). Le cheval adore cette piste. Il aurait préféré être deuxième pour espérer remporter le challenge, car désormais il aura une surtaxe s’il participe au Prix Saônois (L.) à Cagnes. Je pense aussi aller à Dubaï. Une chose est sûre, c’est qu’il fera l’un des deux…” Deuxièmement, non sans malchance en phase finale, Vertbois découvre son caractère audacieux et ravit son entourage. « Elle a la mesure d’une course comme celle-ci, c’est sûr. Lorsqu’il participe à des compétitions, il est capable de montrer de grandes choses. C’est de bon augure pour l’année prochaine. »explique Louise Benard, qui gère les intérêts de Godolphin France. Un autre décolleté court, Mûrirvainqueur à ce niveau en Italie, complète le podium. Son mentor, Mario Baratti, analyse : « Il s’est récemment enlisé dans le Prix Perth (Gr. III). Aujourd’hui, il montre son vrai visage. Il n’est pas impossible d’aller à Dubaï en hiver. »
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