Lady Gabriella parle pour la première fois du suicide de son mari

Lady Gabriella parle pour la première fois du suicide de son mari
Lady Gabriella parle pour la première fois du suicide de son mari

Le 25 février, la famille royale britannique est frappée par un terrible drame. Thomas Kingston, l’époux de Lady Gabriella, la petite cousine du roi Charles III, est retrouvé mort au domicile de ses parents. La possibilité d’un suicide est alors immédiatement évoquée. Le Britannique a souffert des effets secondaires des antidépresseurs prescrits par un médecin du palais de Buckingham, selon l’enquête. Après neuf mois de silence, Gabriella s’est exprimée mardi 3 décembre devant le tribunal du Gloucestershire pour présenter sa version des faits et mettre en garde contre les risques liés aux médicaments utilisés pour traiter les troubles mentaux.

En effet, Thomas Kingston, stressé par son travail, avait du mal à s’endormir. Un médecin du Royal Mews, cabinet médical situé dans l’enceinte du palais et consulté par le personnel de la maison royale, lui a prescrit une ordonnance d’antidépresseurs. Si pour Katy Skerrettle coroner principal (l’officier de police judiciaire dans les pays anglo-saxons, ndlr)le suicide du gendre du prince Michael de Kent est une évidence, pour Lady Gabriella, son mari n’aurait jamais imaginé mettre fin à ses jours. “Ce travail a certainement été un défi pour lui au fil des années, mais je doute fortement que cela l’ait conduit à se suicider”, a-t-elle déclaré. « Si quelque chose l’avait troublé, je suis sûr qu’il aurait dit qu’il avait de gros ennuis. » Le coroner admettra par la suite l’incohérence de la piste du suicide après les témoignages des proches du défunt, assurant que Thomas n’avait pas l’intention de se suicider.

Effets secondaires irréversibles

Gabriella Windsor a expliqué plus tard qu’elle pensait que sa mort était « probablement causée » par une réaction indésirable aux médicaments qu’il avait commencé et arrêté de prendre quelques semaines avant son décès. On lui a prescrit de la sertraline – un antidépresseur – de la zopiclone et des somnifères. Constatant une amélioration de son état, le Britannique de 45 ans s’est alors permis de demander un traitement plus efficace à un médecin du Royal Mews. D’après l’enquête et les propos relayés par Le Gardience dernier lui aurait conseillé de prendre « du citalopram, un autre inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (ISRS) utilisé comme antidépresseur ». »

La possibilité d’un suicide est alors totalement exclue pour Lady Gabriella, certaine « qu’il a eu une réaction indésirable aux pilules qui l’a amené à mettre fin à ses jours. » Au tribunal du Gloucestershire, elle a tenu à mettre en garde contre les effets secondaires de ces traitements. « Je pense que quiconque prend des pilules comme celle-ci doit être mieux informé de ses effets secondaires afin d’éviter d’autres décès. Si cela pouvait arriver à Tom, cela pourrait arriver à n’importe qui », a prévenu le cousin du souverain à la barre.

 
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