Philippe Caverivière était en forme ce lundi 4 novembre pour son retour de vacances. L’humoriste a retrouvé sa place dans la matinale de RTL, présentée par Thomas Sotto et Amandine Bégot. Et comme toujours, il a proposé une chronique amusante autour de l’invité politique du jour. Dans son viseur se trouvait donc Raphaël Glucksmann. Et leL’eurodéputé n’a pas échappé à quelques allusions à sa célèbre compagne et mère de son fils Gabriel, né le 12 mars 2017, Léa Salamé.
Pour cause, Philippe Caverivière connaît bien le journaliste, avec qui il travaille pour l’émission Quelle époque ! le samedi sur France 2. Et l’humoriste du Sud a apparemment suivi de près ce qu’elle faisait de son week-end. “Laissez-moi me permettre, j’ai regardé l’Instagram de ma patronne Léa Salamé qui était à Rome. J’en déduis que tu étais au moins au courant ou que tu étais là sinon ça va gâcher la matinée et l’ambiance de ma chronique», s’est-il adressé à Raphaël Glucksmann, le mettant quelque peu mal à l’aise, lui d’habitude si discret sur sa vie privée. “là tu prends des risquestu prends des risques. Vous êtes une personne très courageuse, hein ?“, a-t-il également répondu. “Absolument, ça me caractérise», a de son côté répondu Philippe Caverivière qui a seulement été interrompu par l’invité. “Loin de moi l’idée de vous menacer… Je suis un vrai démocrate», lui a assuré le fondateur du parti Place publique. “Et foutre en l’air ma chronique ! Mon foutu temps de parole Raphaël !», le chroniqueur feignait alors d’être agacé. Mais ce dernier a encore du mal à donner suite à son idée. “Je ne suis pas un troll mais tu vas loin là“, insisted Raphaël Glucksmann.
Raphaël Glucksmann prend « une scud » à Thomas Sotto
Enfin, Philippe Caverivière a su livrer ses blagues. “Raphaël, vous étiez sous le soleil de la capitale transalpine, vous aviez l’impression de vous promener dans un film de Paolo Sorrentino. Week-end qu’il a fallu interrompre pour prendre une raclée à Thomas Sotto au départ. « Eh bien, comment va le roi du silence ? On ne te voit plus, où étais-tu, paresseux ? On n’a pas de cardio, on ne tient pas la distance et en plus, on a mal au dos dès qu’on porte deux livres ? Et il veut gérer la France ! Et il a répondu : ‘Hé, je ne suis pas ton employé libre, hein’. Une ambiance de merde pour mon retour !», a-t-il plaisanté, faisant bien sûr rire autour de lui comme toujours.