le nombre de cas enregistrés aux urgences augmente en Île-de-France – .

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© PIXABAY

– Le Covid-19 est de retour mais les Français se font de moins en moins tester.

Le Covid-19 est de retour dans le pays. Mais faut-il s’inquiéter ? Selon les chiffres de Santé publique France (SPF), l’épidémie est dans une phase ascendante avant l’été. Dans son dernier bulletin, SPF affiche des taux de positivité en hausse et un augmentation des visites aux urgences. « Aujourd’hui, nous sommes à des niveaux qui ne sont pas inquiétants, mais qui appellent à la vigilance et nous resterons vigilants tout l’été, notamment dans le contexte des mouvements de population pour les JO »précise l’épidémiologiste à Santé publique France, Justine Schaeffer à BFMTV.

L’épidémiologiste exhorte les Français présentant des symptômes, comme une toux ou une infection respiratoire, à se protéger. « On protège les autres, on met un masque »demande Justine Schaeffer. Car depuis la fin des gestes barrières, le Covid-19 ne semble plus inquiètent davantage les Français. “C’est moins un premier réflexe, on a appris à vivre avec”reconnaît un passant au micro de BFMTV. Un autre homme admet qu’il aurait pu “juste une petite grippe” alors qu’une femme n’est pas « stressé » dans la mesure où c’est “vacciné”.

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Le nombre de dépistages divisé par 100 en laboratoire

Mais en Île-de-France, le nombre de passages aux urgences augmente, notamment pour les moins de 45 ans. De nombreux Français estiment qu’il est inutile de se faire tester, comme le confirme un laboratoire situé dans le 9e arrondissement de la capitale. De 1 000 tests par jour au plus fort de la pandémie, elle n’analyse plus que dix à quinze par jour. « Les demandes de recherche qui reviennent sont positives à 80-85 %. Nous ciblons vraiment des personnes bien ciblées qui sont presque sûres de l’obtenir lorsqu’elles viendront le faire.souligne le directeur du laboratoire, Patrick Cassuto.

Selon Santé publique France, les chiffres sont toujours inférieurs à ceux des vagues précédentes et le nombre d’hospitalisations reste stable. Les professionnels se veulent également rassurants, car les symptômes actuels s’apparentent davantage à un gros rhume. En revanche, les personnalités fragiles ou les individus asymptomatiques peuvent être à risque. L’infectiologue Anne-Claude Crémieux a demandé la semaine dernière à cette catégorie de personnes de porter le masque, notamment dans les transports en commun. Et pour ceux qui le souhaitent, il est toujours possible de se faire vacciner.

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