le syndicat a l’intention de faire appel de certains cas

le syndicat a l’intention de faire appel de certains cas
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La décision de l’Agence du revenu du Canada (ARC) de licencier 232 employés ayant reçu la Prestation canadienne d’urgence (PCU) sans y avoir droit, pendant la pandémie de la COVID-19, provoque une réaction de la classe syndicale, qui déplore une sanction qui ne prend pas en compte tous les facteurs.

Interviewé mercredi dans l’émission Les matins icile président national du Syndicat des employés de l’Impôt (SEI), Marc Brière, a d’abord reconnu le mérite d’une décision qui vise à préserver la crédibilité duARC.

Il est normal que l’Agence du revenu mène des enquêtes et des audits internes pour maintenir la confiance du public. Il y a toujours des enquêtes internes, des contrôles très stricts des employés pour s’assurer que personne n’a tortil admit.

Marc Brière, président national du Syndicat des employés des impôts (Photo d’archive)

Photo : Radio-Canada

Toutefois, le président national de SEI a tenu à souligner que les salariés licenciés ne sont pas ce ne sont pas tous les fraudeurs qui voulaient frauder le système. Je sais, parce que nous avons des membres de notre syndicat qui font partie de ces personnes– pensaient à tort y avoir droit, qui parfois remboursaient même avant le début de l’enquête », « texte » : « Il y a des gens qui – je le sais, parce que nous avons des membres de notre syndicat qui sont parmi ces personnes – pensaient à tort qu’ils y avaient droit. y ayant droit, qui parfois même remboursaient avant le début des investigations”}}”>Il y a des gens qui – je le sais, car parmi eux il y a des membres de notre syndicat – pensaient à tort y avoir droit. [à la PCU]qui parfois même remboursait avant le début des investigationsa-t-il précisé.

M. Brière poursuit en racontant que certains employés auraient appelé leARC dans les premiers jours du PCU pour savoir s’ils étaient admissibles au programme : “Écoutez, ce n’est pas sûr, mais nous le pensons. Ensuite, au pire, vous rembourserez. Le problème c’est qu’aujourd’hui, ils sont licenciés et ils n’ont pas d’enregistrement de ces conversations”, “texte”: “et c’est ça on leur fait dire : “écoutez, ce n’est pas sûr, mais nous le pensons. Après, au pire, vous rembourserez”. Le problème c’est qu’aujourd’hui, ils sont licenciés et ils n’ont pas d’enregistrement de ces conversations”}}”>et à qui on a dit : « écoutez, ce n’est pas sûr, mais nous le pensons. Ensuite, au pire, vous rembourserez ». Le problème c’est qu’aujourd’hui, ils sont licenciés et ils n’ont aucun enregistrement de ces conversations.

Il a rappelé que plusieurs travailleurs indépendants avaient bénéficié du PCU par erreur en 2020 en raison de mauvaises informations duARC et Service Canada. Il a ajouté que ces erreurs ont finalement été assumées par le gouvernement qui millions de dollars”, “texte”: “a accordé une amnistie à ces contribuables pour un coût de 300 millions de dollars”}}”>a accordé une amnistie à ces contribuables pour un coût de 300 millions de dollars.

Ils [les travailleurs autonomes] nous n’y avions pas droit, mais c’était notre erreur. Mais dans notre cas, nos adhérents, il y en a qui ont été induits en erreur selon nous, les autres le sont Saint dehors. Ça, j’ai plus de mal avec çaregrette le président national de SEI.

Des enquêtes sont toujours en cours, a indiqué M. Brière, mais il confie que son syndicat travaille présentement à faire appel de situations précises. L’objectif de cette démarche est de défendre ceux qui, aux yeux du syndicat, ont été licenciés à tort par la direction.

Nous avons des griefs en cours qui iront certainement en arbitrage, mais c’est au cas par cas comme l’employeur. Nous ne voulons pas défendre l’indéfendable.

Une citation de Marc Brière, président national du Syndicat des employés des impôts (SEI)

Ils peuvent avoir une mesure disciplinaire, mais à partir de là jusqu’au licenciement, je pense qu’il y a des zones grises que nous devons appliquer, et c’est pour cela que nous voulons nous battre pour certains des employés qui, selon nous, n’ont rien fait dans le but de frauder quoi que ce soitaffirme le président national de SEI.

L’ARC s’explique

L’ARC a récemment lancé un processus d’examen interne pour identifier tous ses employés qui ont demandé et reçu de manière inappropriée PCU alors qu’ils étaient en service. Au total, 600 employés ont été identifiés pour une enquête plus approfondie à la suite de l’enquête préliminaire.

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L’ARC a récemment lancé un processus d’examen interne pour identifier tous ses employés qui ont demandé et reçu la PCU de manière inappropriée. (Photo d’archives)

Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers

Au total, 232 employés de l’Agence qui ont trop demandé et reçu le PCU ont été licenciés en mars. Ces derniers devront également rembourser les sommes s’ils ne l’ont pas déjà fait.

L’ARC a voulu justifier sa décision dans une déclaration écrite transmise à Radio-Canada.

La confiance que les Canadiens accordent à l’Agence est de la plus haute importance pour elle. Les gestes de certains employés ne doivent en aucun cas porter atteinte à l’honnêteté et à l’intégrité des milliers d’employés de l’Agence, qui travaillent de manière exemplaire chaque jour au service des Canadiens.on peut y lire.

L’agence gouvernementale a toutefois tenu à préciser qu’être un employé duARC ne signifie pas nécessairement qu’une personne n’était pas admissible au PCU.

PCU”,,”text”:”L’Agence emploie des personnes ayant des profils d’emploi variés, tels que des contrats temporaires et des contrats étudiants, et à ce titre, certaines personnes étaient éligibles au PCU”}}”>L’Agence emploie des personnes ayant des profils d’emploi variés, tels que des contrats temporaires et des contrats étudiants, et à ce titre, certaines personnes étaient éligibles au PCUa indiqué leARC tout en précisant que 133 de ses salariés ont été jugés éligibles à ce jour.

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