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La théorie de la relativisation – C1 – J7 – PSG-Manchester City

La théorie de la relativisation – C1 – J7 – PSG-Manchester City
La théorie de la relativisation – C1 – J7 – PSG-Manchester City

« J’espère que le match le plus important ne sera pas celui-ci, mais plus tard, à un autre niveau et pour jouer un titre. » Luis Enrique minimise le drame. Malgré ses sept petits points pris en six matches de Ligue des Champions, six buts marqués, six buts encaissés, son PSG affronte Manchester City en confiance. Tous ses joueurs sont prêts et disponibles, le groupe est impliqué, Paris produit du jeu. Cela crée beaucoup de xG. “Je crois que lors de nos trois matchs à domicile, nous avons été infiniment supérieurs à nos adversaires”a déclaré Luis Enrique après la défaite contre l’Atlético de Madrid (1-2). Les points viendront, c’est sûr. Le temps donnera raison au projet de Luis Enrique. Si ce n’est pas ce soir, ce sera contre Stuttgart la semaine prochaine, ou plus tard.

Bref, et on le sait, le football, ce n’est pas un but à jouer. Le résultat de ce PSG-Manchester City fera peut-être pencher le vainqueur du bon côté de l’histoire, le perdant du mauvais côté, mais il ne sera en aucun cas irrévocable pour l’un ou l’autre. Le juge de paix : la qualité du jeu proposé, si l’on en croit Luis Enrique, mais aussi Pep Guardiola. L’ancien adversaire, rival et coéquipier l’a également dit, après une victoire à Tottenham : « Savez-vous pourquoi je suis un génie aujourd’hui ? Car Riyad Mahrez a passé un ballon entre deux hanches et a marqué un but. Il y a des leçons à tirer de gestes anecdotiques. On aurait pu faire match nul ou perdre, ça aurait été pareil. » Bref, quel que soit le résultat face à City : c’est au bout du ballon qu’on fera le décompte.

La manière et l’esprit

En Ligue des Champions, si Paris ne gagne pas, rien ne semble jamais inéluctable. Il a perdu contre l’Atlético, mais a produit du jeu. Il n’a pas gagné contre le PSV, mais a manqué de réalisme. Il a 26 anse du classement, mais a encore toutes ses chances de terminer dans les 24. La défaite de Benfica contre le Barça a déjà éloigné le spectre d’un scénario catastrophe en cas de catastrophe contre City. Ne vous inquiétez pas, le PSG a toutes les cartes en main pour passer les poules, comme à chaque fois depuis 20 ans, et on sait désormais que tout se jouera à Stuttgart la semaine prochaine. Tant pis pour le duel à mort promis depuis un mois.

En marchant au bord du précipice, les Rouge et Bleu l’ont fait la saison dernière. Dans un format différent certes, mais ils étaient à deux matches de l’élimination de la phase de poules. Deux nuls contre Newcastle et Dortmund ont finalement suffi à se qualifier. Alors, le PSG doit-il absolument gagner ce mercredi ? Non. «La seule obligation pour un joueur et un entraîneur est de se donner à 100%, de s’améliorer, de travailler tous les aspects du football.a-t-il expliqué lors d’une conférence de presse. Personne ne peut tout gagner. Il faut savoir gérer la défaite, les moments difficiles, et gérer tout cela le plus normalement possible. » Une manière d’éviter de parler du fait que Paris n’a remporté qu’une seule victoire en six matchs contre Manchester City.

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Et la lumière sera ?

« Le PSG aurait dû gagner encore deux matchs, contre le PSV Eindhoven et l’Atlético de Madrid. Nous devrions avoir cinq points de plus ce matin, compte l’Espagnol. Nous devons accepter que nous n’avions pas le niveau d’efficacité dont nous avions besoin. Mais je vais transformer ce constat en positif : je pense, comme l’année dernière dans ce que vous appeliez le groupe de la mort, qu’on s’en sortira après avoir dû se battre jusqu’au bout pour se qualifier. Ce que je vois dans mon équipe me donne un grand optimisme, une grande confiance. » Oui, ça marchera. Tout dépend du but, Bradley Barcola, Ousmane Dembélé et Gonçalo Ramos finiront par être en réussite ce mercredi soir ou la semaine prochaine.

Sauf qu’à force de relativiser, on oublie le terrain. Le bilan de Luis Enrique en Ligue des champions est celui du pire entraîneur du PSG version qatarienne. A domicile, il a perdu trois de ses cinq derniers matches de C1. Mais qu’importe, son siège est moins éjectable que celui de Thomas Tuchel ou Mauricio Pochettino. Le club a changé, il est dans une nouvelle phase. C’est relatif. C’est du ressenti. C’est un doigt mouillé. Avant le match contre l’Atlético, Luis Enrique l’avait également déclaré : « Notre obligation, ce que je recherche en tant qu’entraîneur, c’est d’avoir les mêmes statistiques que contre le PSV et Gérone. » Avec des objectifs. Au final, cette théorie de la relativisation ressemble beaucoup à la méthode Coué.

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