Breaking news
premier coup dur pour Pierre Sage avant l’Olympico -
Hamilton a fait ses débuts en Ferrari à Fiorano ! -
100 ME pour un coup de génie, le PSG lance -
deux cracks à 60 M€ pour remplacer Tchouaméni -
« Tocard », un joueur rabaissé au PSG ? -
Mbappé embarqué dans une belle histoire d’amour ? -
L’ASC Natangué livre sa version des faits et accuse -

Trompe-l’œil, de 1520 à nos jours

Trompe-l’œil, de 1520 à nos jours
Trompe-l’œil, de 1520 à nos jours

Ils ne risquent plus de tromper beaucoup de monde lorsqu’ils sont ainsi déployés. Réunir quatre-vingts artistes du trompe-l’œil, cela ne revient-il pas à les priver de leur pouvoir d’illusion ? C’est le premier écueil de cette exposition qui aurait difficilement pu faire autrement. Le deuxième obstacle, là encore incontournable, est l’espace du Musée Marmottan, ancien hôtel particulier trop exigu pour développer un sujet qui a été intégralement traité en 2012 par le Musée des Décoratifs à travers quelque quatre cents objets. [1].


1. Anonyme, Allemagne du Nord

Armoire avec bouteilles et livresvers 1520 – 1530

Huile sur bois – 106 x 81 cm

Colmar, Musée Unterlinden

Photo : Musée Unterlinden / Ch. Kempf

Voir l’image sur sa page


Pourtant, la première salle l’annonce d’emblée : la discussion ne se veut pas exhaustive. Le projet est né de la collection de Jules et Paul Marmottan, père et fils, qui partageaient un goût commun pour les trompe-l’œil et en ont acquis plusieurs ; certaines sont présentées à cette occasion et complétées par de nombreux prêts. Le parcours, à la fois chronologique et thématique, débute par l’un des plus anciens tableaux du genre peint vers 1520-1530, qui représente une fausse armoire dont une des portes est ouverte (je vais. 1); elle se termine avec Daniel Spoerri, décédé en novembre dernier, célèbre pour ses « peintures-pièges » qui capturent les restes d’un repas, la vaisselle, les miettes, les mégots de cigarettes, les serviettes…


2. Cornelis Norbertus Gijsbrechts (1649-après 1676)

Trompe l’oeil1665

Huile sur toile – 59 x 56 cm

-

Paris, Marmottan Museum

Photo: Musée Marmottan / Studio Ch. Baraja SLB

Voir l’image sur sa page


Au XVIIe siècle, le peu importe – une sorte de fouillis, ce qui signifie au sens étroit « tout ce qui plaît » est un motif particulièrement populaire. Les peintres mettent en scène un désordre soigneusement organisé, représentant des bandes clouées sur des planches, chargées de retenir des objets – lettres, bésicules, gravures, papiers froissés – qui peuvent…

Pour accéder à ce contenu, vous devez vous abonner à La Tribune des Arts. Les avantages et conditions de cet abonnement, qui vous permettra également de soutenir La Tribune des Artssont décrits sur la page d’abonnement. Si vous souhaitez tester l’abonnement, vous pouvez vous abonner pour un mois (à 8 €) et si cela ne vous convient pas, demandez-nous par un simple email de vous désinscrire (au moins dix jours avant le prochain prélèvement).

Si vous êtes déjà abonné, connectez-vous via ce formulaire.

Canada

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

-

PREV Cette habitude dégoûtante des passagers d’un avion signalée par un agent de bord et que vous devriez vraiment abandonner
NEXT A Vienne, des passagers de Flixbus portent plainte après avoir passé la nuit dans un bus sans chauffage