Le téléfilm avec Antoine Hamel a-t-il été tourné dans une vraie prison ?

Le téléfilm avec Antoine Hamel a-t-il été tourné dans une vraie prison ?
Le téléfilm avec Antoine Hamel a-t-il été tourné dans une vraie prison ?

Aujourd’hui à 14h00 – par Thomas Fourcroy

Des enquêteurs différents mais impliqués dans chaque épisode, des voyages à travers la et des légendes locales célèbres ou des intrigues liées au patrimoine local, la recette de Meurtres à… est bien connue des téléspectateurs de France 3. Ce jeudi 9 janvier, la chaîne rediffuse Meurtres à L’Bishop Bridge, un téléfilm basé sur un fait divers vieux de plusieurs décennies, se déroulant dans une prison célèbre…

Antoine Hamel et Franck Roussel au casting de Meurtres à Bishop’s Bridge

Meurtres à Pont l’Évêque aime jouer entre les époques. En effet, on suit Julien (Antoine Hamel) et Franck Roussel (Arnaud Binard), deux frères complètement opposés, font équipe pour enquêter sur la mort du juge Daniel, retrouvé pendu dans l’ancienne prison de Pont l’Evêque. Deux gendarmes qui auront fort à faire, car ce magistrat est du genre célèbre et au centre de toutes les attentions, étant donné que sa greffière, Marion Letellier (Elodie Frenck), est convoitée par Franck et Julien, ces deux frères qui se détestent. . Au cours de leur enquête, un nouveau meurtre va contrecarrer leurs plans, celui de l’amant de la mère du juge assassiné, ayant eu lieu dans les années 1950.

Meurtres à Bishop’s Bridge : Le téléfilm a-t-il été tourné dans une vraie prison ?

Loin de suivre la tradition du maquillage, qui consiste à faire passer un lieu pour un autre, cet aspect du Meurtres à… a réussi en s’emparant des murs d’une véritable prison à Pont L’Evêque. Celle que l’on surnomme la Prison joyeuse a été construite en 1823 et a défrayé la chronique dans les années 1940 car elle avait des portes ouvertes et laissait son entretien aux prisonniers eux-mêmes. Des détenus également capables de gérer des tâches administratives, comptables et même des dossiers pénitentiaires ! Marqué par l’évasion de René Girier, dit René La Canne, en 1949, qui scia pourtant les barreaux de sa cellule, l’établissement fut fermé en 1953. L’occasion de conserver les murs et d’en faire un tout nouveau lieu, dédié aux manifestations culturelles. , en particulier. Après avoir tourné dans cet étrange pénitencier, Arnaud Binard a déclaré avoir apprécié le moment passé avec nos confrères de Multi-Loisirs :« La prison heureuse est devenue un espace patrimonial, un musée dans lequel on a pu filmer. C’était assez fou : on avait vraiment le sentiment d’être là car tout était très bien conservé. Nous avons également pu recréer une cellule dans les caves de la prison.

 
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