Vu et lu sur le PSG dans la presse française ce lundi 6 janvier 2024. Victoire en Trophée des Champions face à l’AS Monaco (1-0), le PSG démarre parfaitement son année 2025, Ousmane Dembélé y a cru jusqu’à à la fin…
Dans l’édition d’aujourd’hui, L’équipe
consacre une de ses Unes à la victoire de PSG au
Trophée des Champions parement AS Monaco (1-0) grâce à un but sur le gong deOusmane Dembélé. Un succès qui permet aux Rouge & Bleu de remporter les 13es Trophée des Champions de leur histoire. Si le suspense a duré jusqu’au bout, la domination parisienne a été justement récompensée grâce à cette réalisation du numéro 10 parisien dans le temps additionnel sur un service de
Fabien Ruiz. « Mais au lieu de la bataille attendue, nous avons d’abord eu le sentiment d’assister à un échauffement long et approfondi des joueurs. Luis Enriqueéclairé par de rares éclairs, à quelques coups pour réchauffer les gants de Philipp Kohn. » En effet, les Monégasques se sont montrés assez inoffensifs et trop brouillons en première période pour espérer inquiéter les Parisiens dominants. Il a fallu attendre le début de la seconde période pour voir le match s’emballer avec des occasions de chaque côté. “Un quart d’heure de folie ping-pong, tout ce qu’on déteste Luis Enriquequi s’excitait sur son banc, et ramenait tout le monde à la raison. »
Paris puis a repris le contrôle du match, obligeant Monaco subir. La stratégie du technicien espagnol était simple : faire taire son adversaire puis le surprendre d’un geste ou d’une incompréhension. Si l’ASM
était sur le point d’arracher les tirs au but, c’était en grande partie grâce à son gardien Philipp Kohn qui repoussa longtemps les tentatives parisiennes. Avec l’absence de Gonçalo Ramos au coup d’envoi, il a manqué un véritable renard des surfaces pour concrétiser ces nombreuses situations de but. Mais l’entrée des Portugais a changé la donne.
« Autre enseignement de la soirée, voire une confirmation : le PSG a désormais un plan A et un plan B. En faisant intervenir Ramos à la 72ème minute, Luis Enrique s’est enfin doté de l’arsenal dont il rêvait : alterner plaisirs et dangers, tentant tantôt de jouer entre les lignes tantôt en rémission, tantôt visant des centres dans le dos ou de couper au premier poteau. » Même s’il n’a pas joué le rôle de supersub cette fois-ci, Gonçalo Ramos
a joué un rôle déterminant dans le but gagnant. Avec ce 11
Trophée des Champions en 12 ans, le
PSG l’année commence bien et “n’a jamais été aussi prêt toute la saison pour le test européen qui l’attend le 22 janvier contre Manchester City. »
Le quotidien sportif s’intéresse également aux performances deOusmane Dembélé. Déjà double buteur il y a trois semaines lors de la victoire à était Louis II (2-4) en championnat, numéro 10 de
PSG a encore marqué contre AS Monaco. Hier soir à stade 974 de
Dohal’international français n’a jamais baissé les bras et y a cru jusqu’au bout pour reprendre un centre au deuxième poteau Fabien Ruiz (90’+2). Le but vainqueur, synonyme de nouveau trophée pour le PSG.
« Nous avons toujours cru que nous allions marquer, que ce soit à la première, à la cinquantième ou à la dernière minute. On a poussé et c’est arrivé à la toute fin. »a déclaré l’homme du match après le match. Dans cette affiche, Ousmane Dembélé était aligné comme avant-centre. Et l’attaquant de 27 ans s’est impliqué sur les occasions de but et aussi sur les passes bien senties pour ses coéquipiers qui n’ont pas réussi à en profiter. « Depuis plusieurs semaines, le natif de Vernon semble renaître après une période délicate ponctuée de moins bonnes performances et de problèmes relationnels avec son entraîneur qui l’a laissé plusieurs fois sur le banc au coup d’envoi. » Et cette amélioration se confirme dans les statistiques avec 4 buts lors de leurs 4 derniers matches toutes compétitions confondues, après n’en avoir marqué que 2 lors des 13 précédents.
De son côté, Le Parisien évoque également ce succès de
PSG au Trophée des Champions parement AS Monaco (1-0). Dominateur mais inefficace, le club de la capitale est logiquement récompensé et remporte le premier titre de la saison, confirmant une nouvelle fois sa suprématie sur le football français. « Oui, encore une fois, le PSG s’est montré implacable. Et oui, encore une fois, le PSG loué la patience » avec ce but dans le temps additionnelOusmane Dembélé. Dans un premier temps, cette rencontre ressemblait à un véritable match de reprise avant de s’accélérer au retour des vestiaires. C’est l’une des constantes de la formation de Luis Enriquebien qu’imparfaite, elle n’abandonne jamais. « La façon dont cela s’est terminé a rendu justice à ce que nous avons montré. Le but des dernières minutes récompense notre foi et notre travail. Nous n’avons pas été aussi précis que ce type de match l’exige, mais le but reflète ce que nous méritions.a déclaré le technicien espagnol après le match.
Avec une équipe dominatrice mais maladroite,
Paris a arraché la victoire à la fin du temps additionnel avec un Ousmane Dembélé qui a encore une fois joué le rôle de bourreau comme il y a trois semaines
était Louis II. Malgré quelques occasions manquées, le numéro 10 du PSG symbolise à lui seul cette volonté de toujours y croire. « La joie, loin d’être contenue dans Luis Enrique au bord du terrain et celui de son adjoint Guillermo Hernández sur la réalisation de Dembélé reflète bien le sentiment du travail accompli par une équipe déterminée à lancer 2025 sur la bonne voie. » Tout n’était pas parfait, notamment avec un milieu de terrain manquant de créativité, une défense centrale parfois friable mais avec
Gianluigi Donnarumma décisif dans les buts.
« Des carences qui démontrent le chemin qui reste à parcourir en prévision des grands rendez-vous de janvier en Ligue des Champions contre Manchester City et
Stuttgart. Deux matches qui vont changer la saison en bien ou en mal »conclut
LP.