Jocelyne Wildenstein, la « femme chat », est morte

LLa « femme chat » est décédée subitement le dernier jour de l’année 2024, dans un hôpital parisien. Si féline elle n’avait eu que l’obsession de ressembler aux chats qu’adorait son ex-mari, Jocelyne Wildenstein, née Périsset à Lausanne (elle avait gardé le nom prestigieux de son ex), était connue de la jet-set comme une personnalité fantasque. . A 79 ans, cette Suissesse de naissance avait conservé une aura médiatique qui l’emmenait sur les plateaux de télévision français et lui donnait un cercle d’abonnés sur les réseaux sociaux de 1,1 million de personnes.

Une embolie pulmonaire, aussi soudaine qu’inattendue, l’aurait emportée le soir du réveillon alors qu’elle se trouvait dans un palace parisien. Son compagnon actuel, Lloyd Klein, l’aurait retrouvée inconsciente dans sa chambre. Or, la publication récente par la défunte d’une photo d’elle, radieuse, avec sa petite fille dans les bras, avant toute intervention chirurgicale (pour le moins détectable), ainsi que d’une vidéo d’elle et de son compagnon effectuant ces dernières semaines parmi les les paparazzi au son de la chanson « Die with a Smile » de Lady Gaga et Bruno Mars résonne curieusement aujourd’hui.

Des opérations pour « garder » son mari

Contrairement au personnage du film de Jacques Tourneur, Le félinJocelyne Wildenstein ne se sentait pas descendante de la race féline. Après avoir épousé Alec Wildenstein, membre d’une prestigieuse famille de marchands d’art milliardaires, la jeune starlette aux yeux tendus et aux pommettes saillantes a cru pouvoir satisfaire le goût de son mari pour les « chats exotiques » en recourant à la chirurgie « esthétique ». » pour renforcer un air de ressemblance avec ceux-là. La jeune et jolie femme espérait devenir « plus attirante » et « garder » son mari.

Si les avis divergent sur la manière dont le mari a accepté les transformations de sa femme (très mal, selon les médias britanniques, très bien selon les « confidences » de « la femme chat » à Cyril Hanouna sur C 8, récemment), le couple, après avoir eu deux enfants en 1979 et 1980, finit néanmoins par divorcer en 1998. Un divorce très médiatisé qui se règle à l’avantage financier de Jocelyne Wildenstein. Cette dernière, ayant surpris son mari en plein adultère avec une très jeune femme, a obtenu de quoi soutenir un train de vie de milliardaire (environ 107 000 euros par mois) et financer ses interventions chirurgicales répétées (Le télégraphe avance le chiffre de 2 millions d’euros). Pour appuyer sa demande de pension alimentaire, elle a également dénoncé le montage « fiscal » de la famille Wildenstein, qui va coûter très cher aux marchands d’art et aux éleveurs de pur-sang. Avec des peines de prison à la clé…

Mais la manne financière se tarit en 2015 pour Jocelyne Wildenstein, laissant la divorcée « ruinée ». Mais son compagnon depuis 2003, le couturier français d’origine canadienne Lloyd David Klein – directeur créatif chez Madame Grès, et de vingt-sept ans plus jeune que sa muse – a pris le relais. Et, si leur longue liaison fut tumultueuse, le créatif voyait sa partenaire avec les yeux de l’amour.

« Oui, elle a subi quelques petites opérations, mais son visage n’a pas été modifié pour ressembler à un chat. À 17 ans, elle avait la même apparence qu’aujourd’hui, elle avait toujours l’air féline… », a-t-il déclaré.

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Les spectateurs de C8, lors de sa dernière visite, ont été consternés par le résultat. « Franchement, quelle horreur. Qu’a-t-elle fait, elle qui était si jolie», a écrit un internaute, tandis que d’autres, après avoir constaté que «ça fait peur», s’interrogeaient sur la responsabilité des médecins. « Comment un chirurgien peut-il accepter de faire une chose pareille ? » a demandé l’un d’eux.

Les détails des funérailles de Jocelyne Wildenstein n’ont pas été communiqués.