Après la récente Coupe d’Afrique des Nations en Côte d’Ivoire, où l’équipe nationale a été éliminée dès les quarts de finale contre l’Afrique du Sud, de nombreuses controverses ont eu lieu à propos de l’insistance de Walid Regragui à employer Noussair Mazraoui comme arrière gauche.
Alors que Mazraoui assistait à ce tournoi blessé et pas complètement préparé, l’électeur national Walid Regragui s’est inscrit dans la vague exigeant le placement d’un défenseur gaucher dans le couloir gauche, même si cette question n’est pas une fatalité dans le football moderne, et il s’est donc retiré il nous a dit dans ses conférences de presse qu’il ne recommencerait pas. C’est-à-dire employer Mazraoui comme arrière gauche.
En fait, Walid Regragui était convaincu au fond, tout comme l’entraîneur du Bayern Munich et même l’ancien entraîneur de Manchester United Ten Hag, que Nassair Mazraoui pouvait jouer en toute aisance dans les deux couloirs ensemble. Ce n’est peut-être pas le même degré de compétence, mais la présence de Mazraoui apporte un grand plus qualitatif.
Cette conviction est née lorsqu’il a employé Noussair Mazraoui comme arrière gauche lors du match contre le Gabon, et l’a inclus comme arrière droit dans le match de Losotto après la libération du général de brigade Achraf Hakimi pour rejoindre le Paris Saint-Germain. Lors des deux matches réunis, Noussair Mazraoui nous a convaincu de sa capacité à assumer la double fonction s’il était en bonne santé. En toute préparation, que chacun s’assure que Nussir puisse jouer avec compétence en tant qu’arrière gauche chaque fois qu’il est au sommet de sa forme physique.