ils expliquent pourquoi ils ont participé à la cagnotte pour Hugo, Amélie et Noa

ils expliquent pourquoi ils ont participé à la cagnotte pour Hugo, Amélie et Noa
ils expliquent pourquoi ils ont participé à la cagnotte pour Hugo, Amélie et Noa

Le 18 octobre, trois jours après le terrible accident de moto d’Hugo entre Bailleul et Nieppe, Mathilde décide de lancer une collecte de fonds sur « On Participe » pour venir en aide à sa sœur. Elle écrit à propos d’Amélie : « Maman du petit Noa né avec un cancer de la moelle épinière, qui paralyse ses membres inférieurs, qui suit actuellement une chimiothérapie à Lille. Son compagnon Hugo, 21 ans, a été victime d’un très grave accident et ses jours sont en jeu. » Après dix-sept jours de coma, Hugo est désormais tiré d’affaire, mais la rééducation s’annonce longue.

Quand La voix du Nord appelle Amélie, 450 € ont été collectés. Suite à notre article sur la page Région, relayé dans la revue de presse de Interla cagnotte dépasse les 4 000 € pour atteindre aujourd’hui plus de 20 000 €.

« Plus besoin que moi »

Pour Christiane, qui habite la métropole lilloise, donner était une évidence : « J’ai des petits-enfants, et en tant qu’enseignant, j’ai vécu des morts très brutales et je me dis qu’il faut faire quelque chose pour cette famille. » Didier, de Leffrinckoucke, juge « Comme c’est bon de donner à un jeune couple qui traverse de tels drames, ils ont plus besoin de cet argent que moi ! » Danielle, in Cambrésis, says: “ J’ai lu l’article et mes bras sont tombés, je ne comprends pas tant de tristesse, ça m’a fait pleurer. Un enfant si petit et si malade, on ne peut pas accepter ça… »

Un don de 500 euros… de Suisse

Marie-Claude, de Villeneuve-d’Ascq, n’a pas réussi à donner : « J’ai 70 ans et je ne suis pas doué en informatique. », mais elle a envoyé des informations pour dire aux couples qu’il existe de l’aide : « Je suis bénévole depuis 42 ans auprès des personnes sans logement ni travail, je connais les systèmes en place. » C’est en Suisse que Jean-Marc a entendu l’histoire de cette famille sur France Interil a alors fait un don de 500 € : «J’ai été très touché et j’ai voulu aider ces personnes directement, je suis heureux qu’il y ait autant de dons. »

La cagnotte, intitulée « Soutenir ma sœur pour son petit et son compagnon », reste ouverte à ceux qui souhaiteraient faire un don.

France

 
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