un héros nommé Aboukhlal, la main ferme de Restes, la générosité de Kamanzi… Découvrez les notes des Toulousains

un héros nommé Aboukhlal, la main ferme de Restes, la générosité de Kamanzi… Découvrez les notes des Toulousains
un héros nommé Aboukhlal, la main ferme de Restes, la générosité de Kamanzi… Découvrez les notes des Toulousains

l’essentiel
Les footballeurs toulousains ont dominé Reims (1-0) en toute fin de match (10e journée) ce dimanche 3 novembre au Stadium, grâce à un but de leur attaquant marocain. Qui a brillé ? Qui a fait une erreur ? La Dépêche du Midi sort le cahier.

RESTES (6/10). Concentré sur sa ligne, le gardien toulousain a réussi un bel arrêt du droit quand il le fallait sur cette demi-volée du gauche de Sergio Akieme (19). Le vice-champion olympique a été battu par le coup de casque de Nakamura, mais sauvé par sa barre (81e).

SIDIBE (5,5). Sur le côté droit de la défense, le champion du monde 2018 a fait preuve de vigilance pour canaliser Keito Nakamura. Aussi, l’ancien Lillois et Monégasque s’est fait remarquer par son pied droit. A son actif, une longue ouverture pour Gboho en profondeur (37) ou ce caviar déposé sur la tête de Zakaria Aboukhlal (45+1). Heureusement sa perte d’appui dans la surface s’est avérée sans conséquence en seconde période (74e).

CRESSWELL (5). Présence dans sa surface, même s’il a peut-être fait preuve d’un peu de naïveté en oubliant Nakamura dans son dos sur l’action la plus bouillante des Rémois (81e).

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MCKENZIE (5,5). Jamais trouvé en défaut, il a assuré quand il le fallait effacer le danger, notamment dans les six mètres après le déboulé de l’ailier gauche japonais (18e). Il n’a pas hésité à se lancer dans le duel aérien et s’en est payé un peu d’un coup à la tête lors d’une intervention aérienne contre Oumar Diakité (24 ans).

PAS D’EAU (6). Une première période où il ne s’est pas sauvé, c’est un euphémisme. Le piston droit a livré un match complet : bien placé, généreux dans le pressing, et dans de bons coups de son côté pour tenter d’amener le danger. Remplacé par SUAZO (73).

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SIERRO (5,5). Le capitaine a eu un peu de mal à entrer dans son match avec plusieurs pertes de balle, dont une menant à la première occasion pour Reims (18e). Puis, le Suisse est progressivement monté en puissance pour apporter des solutions à ses partenaires de l’entrejeu et devenir un bon agent de liaison.

CASSERES (6). Plus discret en première période, son volume de jeu était plus important au retour des vestiaires. Du pied droit, il a bien guidé le jeu toulousain pour aller de l’avant.

MERDE (5,5). Il a commencé à gauche, où il a parfaitement tenu son couloir, puis a terminé à droite. C’est lui qui est à l’origine de l’action du but. Solide.

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ABOUKHLAL (7). Un modèle de persévérance dans ce match. Non récompensé sur sa tête avant la pause, il a mis le feu à la défense rémoise après l’heure de jeu (64e, 57e). C’est finalement d’un plongeon qu’il délivre le Stade pour l’unique but de la partie (84e). Le troisième en l’espace de sept jours. Remplacé par MAGRI (90+3).

ROI (5). Sur le plan offensif, il a beaucoup couru pour faire le sale boulot. Auteur du premier cliché (21). Juste avant la pause, sa frappe du gauche manquait de conviction pour surprendre le gardien champenois (45+4). Solide dans les duels, il a été auteur d’un bon déboulé côté gauche (48e).

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MERVEILLEUX (5). Discret durant la première demi-heure, il s’est ensuite davantage mis en évidence en fin de première période. Son contrôle, pas évident à réaliser sur la longue ouverture de Djibril, aurait mérité un peu plus de précision pour inscrire un vrai ballon de but (37e). Une fois de plus, il a prouvé qu’il était capable de faire des ravages chez l’adversaire, mais il a raté un petit quelque chose. Remplacé par BABICKA (73).

 
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