Maryse Burgot confie sa terrible peur lorsqu’elle était otage, qui l’a poussée à tomber enceinte trois mois après sa libération

Maryse Burgot confie sa terrible peur lorsqu’elle était otage, qui l’a poussée à tomber enceinte trois mois après sa libération
Maryse Burgot confie sa terrible peur lorsqu’elle était otage, qui l’a poussée à tomber enceinte trois mois après sa libération

Sa plus grande peur. Maryse Burgot, visage bien connu des téléspectateurs de Télévision pour ses reportages en zones de guerre, revient sur son parcours dans un livre intitulé Loin de chez moi. Grande reporter et fille d’agriculteurs, aux éditions Fayard. La journaliste de 60 ans revient notamment sur la prise d’otage dont elle a été victime en 2000, dans la jungle de l’île de Jolo, aux Philippines, dont elle a très peu évoqué jusqu’ici, assurant que «C’était donner trop d’honneur à [ses] geôliers», explique-t-elle dans les colonnes de Gala.

Maryse Burgot se confie sur la naissance de son fils, après sa prise d’otage

Maryse Burgot qui décrit ses sept semaines de captivité comme «un gouffre de détresse», revient sur ce qu’elle craignait le plus lors de sa prise d’otage : «J’étais certain que j’allais vieillir dans cette jungle et que donc je n’aurais jamais d’enfants, même si j’avais 36 ans et que j’avais rencontré l’homme avec qui je voulais fonder une famille», a-t-elle confié à nos confrères. De retour en France, Maryse n’a pas attendu longtemps pour créer un foyer avec son compagnon de l’époque et est tombée enceinte trois mois seulement après sa libération. , et c’est maintenant mère de deux fils adultes nommés Angelo et Noé.

Maryse Burgot revient sur les scènes de guerre peu après son accouchement

La maternité n’a pas freiné Maryse Burgot dans son envie de revenir au reportage… »Je suis plutôt casanier. J’adore rentrer à la maison. M.mais je ressens toujours le besoin de partir», s’amuse la journaliste qui s’est effectivement rendue en Irak après la naissance de ses fils. “Je pensais que je gérais bien les choses, se souvient-elle. Et puisun jour, j’ai eu l’impression de tout faire de travers. J’ai ressenti le besoin viscéral de retrouver mes bébés», a-t-elle raconté dans les pages du magazine révélant qu’elle a ensuite choisi d’être correspondante à Londres puis à Washington, en attendant que ses garçons grandissent, avant de reprendre ses voyages dans les pays en guerre comme elle le fait encore aujourd’hui.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Grand Raid 2024. Jean-Philippe Tschumi et Mathieu Blanchard, en tête de la Diagonale des Fous, traversent Mafate ensemble
NEXT L’ONU propose de diviser le Sahara occidental pour mettre fin au conflit territorial