une relation sexuelle au coeur du chef-lieu ! “C’est surréaliste…”

une relation sexuelle au coeur du chef-lieu ! “C’est surréaliste…”
une relation sexuelle au coeur du chef-lieu ! “C’est surréaliste…”

Un passant a surpris, à travers les grandes baies vitrées du nouveau centre administratif de la rue de Stalle, deux personnes en train d’avoir des rapports sexuels dans l’open space d’Uccle.

Une enquête est ouverte

Si la situation se moque, du côté de la commune d’Uccle, on rigole. “C’est un problème. C’est surréaliste, assure le maire Boris Dilliès. Nous allons analyser tout cela. Je vais demander au secrétaire municipal de lancer une enquête interne, car c’est inconcevable.

Après une première analyse réalisée par la commune d’Uccle, la vidéo ne date pas d’hier, mais remonte à plus d’un an. “A ma connaissance, la vidéo n’était pas connue de nos services. Nous nous appuyons sur la coupe des arbres pour dater la vidéo”ajoute le maire d’Ucclois. Le centre administratif étant récent – ​​il a été inauguré en octobre 2022 – l’évolution de la verdure a sensiblement évolué depuis, permettant de retrouver la période à laquelle cette vidéo a été tournée.

Risque de licenciement et de poursuites judiciaires

Quant à la commune d’Uccle, nous ne comptons pas en rester là. Les personnes visibles dans la vidéo et ayant eu des relations sexuelles dans les bureaux de l’administration municipale pourraient en subir les conséquences. Plusieurs degrés de sanctions sont possibles. La « plus faible » serait une simple réprimande mais les salariés s’exposent à des sanctions plus sévères, pouvant aller de la retenue sur salaire au licenciement pour faute grave. Etant donné que la scène s’est déroulée au sein d’un édifice public, le choix de la sanction reviendra au collège communal d’Uccle.

Il faudra toutefois déterminer s’il s’agit bien d’employés municipaux. Il se pourrait que cette scène soit l’œuvre de personnes travaillant pour un sous-traitant appelé par la commune d’Uccle pour diverses tâches.

Sur le plan juridique, le Code pénal sexuel vient d’être réformé, indiquant que des poursuites sont possibles pour ce type d’affaires. Les personnes visibles dans la vidéo pourraient être accusées de voyeurisme, d’indécence, ainsi que d’exhibitionnisme, notamment si l’acte a été commis dans un lieu public ou accessible au public, ce qui pourrait être le cas du bureau administratif centre d’Uccle. Ces délits sont passibles d’un an de prison maximum et d’une amende pouvant aller jusqu’à 500 euros.

Cette histoire rappelle un épisode survenu dans la banlieue bruxelloise près de Hoeilaart en 2013, lorsqu’une liaison extraconjugale de la première échevine de l’époque, Els Uytterhoeven, avait fuité, prise au milieu d’une bagarre au sein de la maison communale.

 
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