CRITIQUE – L’auteur nous propose un jeu de société aux couleurs de la collection « Série noire » de Gallimard, composé d’un plateau, de 89 cartes et d’autant de jetons, 80 tickets et un dé. Un seul objectif : prendre le pouvoir !
L’année 2025 sera marquée par le 80e anniversaire de la collection créée en septembre 1945 par Marcel Duhamel chez Gallimard. Outre Duhamel, plusieurs personnes régneront sur les bureaux de la « Série Noire », situés au sous-sol de la rue de l’Université : Robert Soulat à la mort de Duhamel en 1977, puis Patrick Raynal en 1991, Aurélien Masson en 2005 et, en 2017, Stéphanie Delestré.
En attendant de découvrir de quelle manière la mythique maison d’édition rendra hommage à ce toujours fringant flingueur octogénaire (on ne peut s’empêcher de voir, dans le rôle de la dame en noir, Françoise Rosay, celui de la Cave se rebiffe), on peut jouer avec elle. Nicolas Bonnefoy nous propose Poison Ville, un jeu de société aux couleurs de la collection (fond noir, lettres jaunes et blanches) composé d’un plateau, de 89 cartes et d’autant de jetons, de 80 tickets et d’un dé. Il s’agira ni plus ni moins de répondre à cette simple question : « Cette bande…
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