A l’occasion du 80ème anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz le 27 janvier, M6 diffuse ce mercredi 22 janvier 2025 à partir de 21h10 les deux premiers épisodes de la nouvelle mini-série Le tatoueur d’Auschwitzadapté du roman éponyme de l’auteur néo-zélandais Heather Morris. Cette fiction en six parties, avec Harvey Keitel, Jonah Hauer-King, Melanie Lynskey et Anna Próchniak, raconte l’histoire de Lale Sokolov, un prisonnier juif au camp d’extermination d’Auschwitz pendant la Seconde Guerre mondiale, une sombre période de l’Histoire également couverte. dans la série La maison allemande sur Disney+.
Le tatoueur d’Auschwitz : Ce qui vous attend dans les épisodes 1 et 2 diffusés mercredi 22 janvier 2025
Au début de la mini-série Le tatoueur d’AuschwitzL’octogénaire Lale Sokolov (Harvey Keitel) décide de raconter son histoire à une femme, Heather Morris (Melanie Linskey), afin qu’elle puisse l’écrire. Tout commence au début de la Seconde Guerre mondiale, le jeune Lale (Jonah Hauer-King) est fait prisonnier dans le camp de concentration d’Auschwitz-Birkenau. Par un enchaînement de circonstances, il est réquisitionné pour tatouer le numéro de ses codétenus sur leurs bras, et attire l’attention de Gita (Anna Próchniak). Ces deux âmes tombent alors follement amoureuses l’une de l’autre. Dans un contexte d’horreur incommensurable, Lale et Gita tentent de s’aimer et de survivre tant bien que mal.
Le tatoueur d’Auschwitz : Faut-il regarder la mini-série ?
L’auteur du livre, Heather Morris, s’est beaucoup impliquée dans cette adaptation, validant chaque étape du scénario. Traduit dans plus de 40 langues, Le tatoueur d’Auschwitz publié en 2018, s’est vendu à 14 millions d’exemplaires dans le monde (400 000 en France). Il a fait l’objet de critiques, notamment concernant certaines approximations historiques. L’adaptation en mini-série, fidèle au roman et réalisée par Tali Shalom-Ezer, s’appuie sur de solides performances d’acteur et une reconstitution effrayante du camp de concentration. La narration, quant à elle, conjugue habilement deux époques, permettant ainsi de voir les séquelles indélébiles du traumatisme des camps…