Un Français sur deux préférerait vivre dans un monde où les réseaux sociaux n’existent pas. Ce 16 mai 2024, les chroniqueurs de Cyril Hanouna évoquaient ensemble le fléau du cyber-harcèlement, dans TPMP. Et Bernard Montiel a annoncé qu’il avait pris une décision importante. Comme Yann Barthès ou Vitaa avant lui, il a décidé de quitter Twitter, rebaptisé X.
Départ de Bernard Montiel
En cause, la haine ambiante, exacerbée par l’anonymat. Pour l’animateur de RFM, il est temps que le réseau social lève cette immunité qui permet à certains haters de continuer à opérer en toute impunité. Un point de vue que partage en partie Gilles Verdez. Concernant ceux qui voudraient interdire les réseaux sociaux aux jeunes, il a tranché ce jeudi : « C’est terriblement démodé les gens, c’est comme dire qu’on va se débarrasser de la télé, du téléphone, qu’on était plus heureux sans électricité, et à la préhistoire, en chassant les mammouths. Non, mais tu es complètement délirant ! »
Et d’ajouter cependant : « Cela fait partie du quotidien, il faut les modérer, il faut prendre soin et protéger nos enfants. Mais il faut vivre avec ça. »
Les déçus de Twitter
Dans la même veine que Bernard Montiel, Valérie Bénaïm a elle aussi jugé que Twitter était dangereux. Elle a contré Gilles Verdez en lui disant : « Avouons que nous sommes déçus, nous pensions que les réseaux sociaux seraient une belle avancée, et que ce serait une sorte d’agora, où tout le monde se parlerait, et ne s’insulterait pas. ». Et pour cause, elle précise également : « en fait, ce sont seulement les extrêmes, en règle générale, qui vont, non pas débattre, mais exprimer leurs positions, et insulter ceux qui n’ont pas les mêmes positions qu’eux.
