Apolline de Malherbe est l’un des visages connus de RMC et RMC Story. En effet, l’animatrice de 44 ans anime son émission intitulée Apolline Matin aux côtés de ses chroniqueurs. Elle reçoit notamment des témoignages parfois émouvants d’auditeurs qui lui racontent leur quotidien, comme cette retraitée qui a contacté l’émission, en larmes, pour évoquer sa situation financière compliquée. Invité ce lundi 7 octobre dans C à toiApolline de Malherbe a annoncé une nouveauté liée à ces personnes qui partagent leur histoire. “Ce standard est un trésor, on a 1000 appels par jour de gens de toute la France qui nous disent comment est la France aujourd’hui (…) J’ai décidé de tirer le fil et d’aller voir ces auditeurs. C’est eux qui m’ont appelé, mais désormais c’est moi qui vais aller vers eux (…) Ce sera à partir de janvier et on commence le tournage demain», a-t-elle révélé.
Apolline de Malherbe sur ce drôle de rituel qu’elle a entre deux spectacles
Dans la suite de l’émission, Matthieu Belliard et Charles Magnien, qui travaillent avec elle sur la matinale de RMC, lui ont lancé un défi : venir ce mardi 8 octobre au matin en chignon ! “Promesse“, a-t-elle déclaré après avoir découvert leur message vidéo. Émilie Tran Nguyen a ensuite évoqué les habitudes qu’a le journaliste, des sortes de «rituels“avant de passer à l’antenne, comme enfiler… des talons !”Je me change en plein show, c’est à dire je suis en baskets pour la partie RMC et je suis en talons pour le Face-à-Face», a indiqué Apolline de Malherbe.
“Je dois enfiler une combinaison de plongée, enfiler un uniforme…“
Et de poursuivre : «Tu ne peux pas voir mes pieds, donc ça n’a aucun sens, c’est seulement psychologiqueJ’ai besoin d’enfiler un scaphandre, d’enfiler un uniforme dans le couloir qui va du studio RMC au studio Face-à-Face, je change de chaussures« . Face à Anne-Élisabeth Lemoine, Apolline de Malherbe a évoqué d’autres sujets, notamment son métier de journaliste qui, selon elle, a évolué. “Quand j’ai commencé ce métier, il y avait une certaine liberté (…) Il y avait une forme d’écoute, de bienveillance (…) Aujourd’hui, c’est comme si la société n’attendait que le faux pas (…) C’est terrible», a-t-elle observé.