“J’ai découvert que j’étais réellement enceinte une semaine après le début du tournage !” Denitsa Ikonomova revient sur son premier rôle dans Disparition, diffusé ce lundi 7 octobre 2024 sur France 2

“J’ai découvert que j’étais réellement enceinte une semaine après le début du tournage !” Denitsa Ikonomova revient sur son premier rôle dans Disparition, diffusé ce lundi 7 octobre 2024 sur France 2
“J’ai découvert que j’étais réellement enceinte une semaine après le début du tournage !” Denitsa Ikonomova revient sur son premier rôle dans Disparition, diffusé ce lundi 7 octobre 2024 sur France 2

Lundi 7 octobre, à 21h05, France 2 continue de diffuser la collection Disparition inquiétanteavec un nouvel épisode inédit : Quand l’enfant apparaît (notre avis). Un complot évoquant les violences faites aux femmes, qui, pour Béatrice Dallea des résonances très personnelles. Quant à Denitsa Ikonomova, la réalité a complètement rejoint la fiction ! Pour son premier vrai rôle à l’écran, elle incarne une future maman qui disparaît mystérieusement alors qu’elle se rend à la maternité. Pourtant, le chorégraphe-danseur passe à la postérité grâce à Danse avec l’étoile a découvert, une semaine après le début du tournage, qu’elle attendait son premier enfant avec son partenaire, le danseur François Alu. Elle se confie sur cet extraordinaire coup du sort.

“J’ai découvert que j’étais enceinte une semaine après le début du tournage !” Denitsa Ikonomova revient sur son premier rôle dans Disparition, diffusé ce lundi 7 octobre sur France 2

Télé-Loisirs : Comment ce premier rôle vous est-il arrivé ?
Denitsa Ikonomova :
Il y a quelques années, le réalisateur Arnauld Mercadier m’a amené sur le tournage de Coup de foudre à Jaipur pour ajuster les chorégraphies. Nous restions très proches – d’autant que nous vivions non loin l’un de l’autre dans le Sud – et il voulait absolument que je joue un jour. Début 2024, il me disait qu’il avait enfin trouvé le bon projet, celui de Norma en Disparition inquiétanteune femme enceinte dont les eaux se brisent et sont retirées. Et puis je lui demande : «Mais quand as-tu pensé à moi pour un rôle comme celui-là ?!» [Elle rit.]

Parce qu’à l’époque, vous n’étiez pas encore enceinte ?
Mais pas du tout ! C’était un rôle de composition qu’Arnauld pensait pouvoir assumer car il me connaît par cœur. Pour moi, c’était totalement improbable mais, comme j’aime les défis, j’ai décidé de me lancer et de lui faire entièrement confiance. Ce qui est incroyable, c’est qu’une semaine après le début du tournage, j’ai découvert que j’étais vraiment enceinte ! [Elle rit.]

Est-ce que porter un bébé a réellement changé votre façon de jouer ?
Non, mais en même temps, c’était incroyable de vivre cette expérience en avance grâce au film ! Je pensais qu’avec cela, je serais capable de me préparer et de savoir à peu près à quoi m’attendre.

Denitsa Ikonomova (Disparition inquiétante) : “Comme j’ai vécu le pire pour ce film, maintenant je suis prêt !

Vu le scénario, c’était plutôt la pire préparation à l’accouchement !
C’est vrai ! Comme j’ai vécu le pire pour le film, maintenant je suis prêt ! [Elle rit.] Mais lorsque j’ai fait l’essayage le 7 mars – je savais que j’étais enceinte depuis environ une semaine – j’ai mis mon faux ventre, je me suis regardée dans le miroir et j’ai été traversée par des émotions très particulières. Le rôle a pris une autre dimension.

Le téléfilm commence avec la perte des eaux de votre personnage. Comment jouer cette séquence que, justement, vous n’avez pas encore vécue en vrai ?
J’ai été coachée par une femme formidable, médecin généraliste et mère de quatre enfants, présente tout au long du tournage. Elle m’a expliqué comment marcher ou me lever d’une chaise avec mon faux ventre : «Oh non, tu ne peux plus faire ça, tu n’as plus d’abdos !. Elle m’a raconté plein de subtilités qui m’ont beaucoup aidé. Au fur et à mesure que ma propre grossesse avançait, j’ai réalisé à quel point elle avait raison !

Comment avez-vous vécu la scène de naissance ?
C’était un peu compliqué parce que, d’une part, je ne savais pas comment faire – encore une fois les conseils de cette femme médecin ont été précieux pour m’orienter – et en plus, il faisait très froid ! Il pleuvait, le vent soufflait très fort, j’ai dû oublier ces conditions météo horribles pour me concentrer sur ce que je devais ressentir physiquement dans mon corps. Ce qui est fou c’est que dès qu’Arnauld a dit «Action !», l’équipe derrière moi, les caméras, plus rien n’existait. J’étais dans ma bulle et je me projetais dans la scène. C’est incroyable de voir à quel point le cerveau peut vous isoler pour rester concentré sur la tâche à accomplir.

 
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