CONTREest le succès surprise de Netflix. Sorti le 11 avril discrètement, avec peu (voire pas) de promotion, Mon petit renne est devenu, en l’espace de deux semaines, un phénomène sur la plateforme, numéro 1 mondial et en France.
Cette mini-série de sept épisodes a connu un démarrage timide, mais le bouche à oreille a fait exploser les compteurs. Selon la newsletter Netflix & Figures, Mon petit renne a vu une augmentation de 408 % des heures de visionnage de la première à la deuxième semaine. Jamais vu. Cette semaine se classe également comme la douzième meilleure période d’une nouvelle série de l’histoire de la plateforme. Comment expliquer le succès inattendu de Mon petit renne ?
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Ce drame réinvestit un cadre bien connu des fans de vrais crimes (documentaires criminels, NDLR). La série suit Donny (Richard Gadd), un barman d’une trentaine d’années et comédien en herbe. Lorsqu’il rencontre Martha (Jessica Gunning), une cliente du pub où il travaille et à qui il offre gentiment une tasse de thé, sa vie tourne au cauchemar. Pendant plusieurs années, il a subi un harcèlement constant de la part de Martha, convaincue qu’elle avait noué une relation avec lui. Elle envoie à sa victime d’innombrables SMS, e-mails et messages. Le harcèlement va réveiller des traumatismes enfouis chez Donny.
