découvrez l’incroyable histoire vraie de Christian Moullec

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Aventurier, écrivain, réalisateur, Nicolas Vanier n’a pas son pareil lorsqu’il s’agit de filmer la nature et de se dépasser. Et il le prouve une nouvelle fois dans cette histoire passionnante mettant en scène un scientifique (Jean-Paul Rouve, époustouflant) qui emmène son fils adolescent dans un projet fou : sauver une variété d’oies en voie de disparition grâce à un ULM ! Donne-moi tes ailes est diffusé ce dimanche 7 avril 2024 à 21h10 sur France 2.

Un authentique conte écologique

Bien qu’il s’agisse d’une œuvre de fiction, Donne-moi des ailes trouve son origine dans une incroyable histoire vraie : celle de Christian Moullec, météorologue passionné d’ornithologie. En 1995, ce Breton se lance dans un projet fou : celui de voler avec des oies sauvages à bord d’un deltaplane motorisé. Son objectif ? Sensibiliser chacun à la protection des oiseaux migrateurs et réintroduire l’oie rieuse en Suède. Il se transforme ainsi en homme-oiseau, et vole aux côtés des anatidés afin de leur apprendre une nouvelle route de migration. “Cette histoire est évidemment nourri de ce que j’ai vécu», précise l’intéressé. “Mais il fallait quelqu’un de la trempe de Nicolas Vanier pour pouvoir réaliser un tel film car, en plus de sa sensibilité à la nature, il possède le talent de chef d’orchestre nécessaire sur un tournage comportant de nombreux défis techniques.« Et ils n’ont pas échoué.

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Une prouesse technologique

Visuellement époustouflantes, les images de vols au plus près des oiseaux étaient très complexes à filmer. Dans la question ? Le poids de l’ULM. Cet appareil capable de voler à 50 km/h, c’est-à-dire à la vitesse des oiseaux, ne peut supporter des équipements lourds. “Il existe aujourd’hui des technologies permettant d’utiliser des caméras qui se positionnent précisément par rapport à l’horizon grâce au GPS.», explique le réalisateur. “Ils permettent d’obtenir des images extrêmement stables, malgré les vibrations, et sans l’effet stroboscopique qui perturbait il y a encore quelques années les mouvements.« Pourtant, de multiples tests ont été nécessaires avant le tournage, avec pas mal d’échecs et de phases de découragement. D’autant plus qu’il s’agissait des actrices principales du film : les oies sauvages !Ils ont leur humeur, puis ils ont besoin de certaines conditions atmosphériques, car ils ne peuvent pas voler dans des vents de plus de 30 km/h.», nous confie Nicolas Vanier. “Nous avions donc aussi des contraintes liées aux oies, en plus de la technique. Tout cela crée un millefeuille qui rend les choses compliquées, mais surtout passionnantes.» Et le résultat à l’écran est saisissant.

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