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Entretien En 1988, Clint Eastwood présente « Bird », un biopic sur Charlie Parker. Dans cet entretien au « Nouvel Observateur », l’acteur-réalisateur a surtout évoqué le jazz, une musique qui l’inspire et dont il est un fin connaisseur.
Le nouvel observateur. Tragique coïncidence. Au moment où vous présentiez à Cannes votre film consacré à Charlie Parker, le trompettiste Chet Baker, l’un des plus grands poètes du jazz, disparaissait à Amsterdam dans des circonstances qui restent inexpliquées. Mais personne n’en doute, il s’agit d’un nouveau drame provoqué par la drogue. La même malédiction frappe-t-elle toujours les jazzmen ?
Clint Eastwood. Je ne sais pas. Heureusement, les choses sont plus faciles pour les musiciens de jazz aujourd’hui qu’à l’époque de Charlie Parker. Chet Baker, comme tous les musiciens apparus dans les années 1940 et 1950, a reçu de plein fouet la musique de Bird. Cette musique était si nouvelle, si forte qu’elle incitait indirectement toute une génération à entrer dans le monde de la drogue. Mais Parker lui-même n’a jamais cherché à convertir les autres…
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