«L’opinion publique a toujours été le pire ennemi de la justice équitable»

ENTRETIEN.- Le chroniqueur juridique de Figaro publication Service post-crime (Éditions du Rocher) où il raconte 25 ans d’assistance, de l’affaire Guy Georges à V13 via Overreau.

Stéphane Durand-Souffland est un chroniqueur juridique pour Le Figaro. Dans le service post-crime(editions du Rocher) Il raconte vingt-cinq ans de procès. Du tueur en série Guy Georges au procès V13 sur les attaques djihadistes, y compris le scandale de Outreau et la perversion de Michel Fourniret, une plongée captivante dans la mécanique judiciaire et les profondeurs de l’âme humaine.

Le Figaro.- Vous décrivez les assises comme une «drogue dure» pour le chroniqueur légal. Qu’est-ce qui est si attrayant dans ce théâtre d’obscurité humaine?

Lorsque vous faites ce travail, vous devez être passionné. Je ne suis pas attiré par le crime ou l’aspect horreur des choses. Ce qui m’obsee, c’est la machine de jugement, c’est comprendre comment une société met en place des mécanismes pour juger de ses contemporains. Quand j’ai couvert mon premier essai majeur, celui de Guy Georges, j’étais tellement captivé que, à la fin, je me suis demandé…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 89% à découvrir.

Vente de flash

4,99 € par mois pendant 12 mois. Aucun engagement.

Déjà abonné? Se connecter

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

-

PREV National. L’ASNL prend ses distances et rend un bel hommage
NEXT Le premier match des « Avs » sans Rantanen sur nos ondes