“Pour repousser une potentielle percée russe depuis la Biélorussie”, l’armée française se serait entraînée en secret pour préparer un éventuel déploiement en Ukraine.

“Pour repousser une potentielle percée russe depuis la Biélorussie”, l’armée française se serait entraînée en secret pour préparer un éventuel déploiement en Ukraine.
“Pour repousser une potentielle percée russe depuis la Biélorussie”, l’armée française se serait entraînée en secret pour préparer un éventuel déploiement en Ukraine.

L’exercice, baptisé « Persée », aurait mobilisé 3 200 militaires.

La aurait mené secrètement des exercices militaires à grande échelle sous le nom de code Persée » l’automne dernier. L’armée française aurait a simulé le déploiement de ses forces spéciales en Ukraine pour repousser une hypothétique percée russe depuis la Biélorussierapporte le site spécialisé Renseignement en ligne.

L’exercice aurait duré une semaine et aurait mobilisé tous les personnels du commandement des opérations spéciales de l’armée française. Les manœuvres auraient été effectuées dans une région choisie pour sa ressemblance avec le «coude qu’est-ce que ça fait” le fleuve Dniepr, au nord de la région de Kyivreproduisant fidèlement les conditions potentielles de combat.

3 200 militaires mobilisés

« Tout au long de la semaine, des entraînements [dont le lieu a été tenu secret, NDLR] a permis de tester les gestes et les équipements de 3 200 militaires »écrivent nos confrères qui indiquent que “l’accent était mis sur l’utilisation tactique des dronesguerre électronique, reconnaissance radio et interopérabilité des unités dans des scénarios de combat de haute intensité.

Guerre en Ukraine : un avion de la marine française visé par l’armée russe lors d’un vol de surveillance en mer Baltique, la France dénonce une « action agressive » https://t.co/bUMXqNha85 via @lindependant

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– L’Indépendant (@lindependent) https://twitter.com/lindependant/status/1880189185841369121?ref_src=twsrc%5Etfw

Malgré l’intégration de technologies avancées, le site spécialisé constate une lacune notable : l’absence de formation sur les drones d’attaque FPV, qui auraient pu considérablement améliorer l’efficacité opérationnelle.

Belgique

 
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