Paris a pris son temps mais a remporté son premier titre de la saison contre Monaco (1-0)

Paris a pris son temps mais a remporté son premier titre de la saison contre Monaco (1-0)
Paris a pris son temps mais a remporté son premier titre de la saison contre Monaco (1-0)

En quelques secondes, nous aurions retrouvé Paris tel que nous l’avions quitté. Mais deux semaines après avoir bouclé 2024 aux tirs au but, le club de la capitale, grâce à Ousmane Dembélé, a cette fois évité d’ouvrir 2025 par une finale au suspense insupportable. Loin de la froideur de Lens et de la Coupe de , c’est au Qatar, sur la pelouse du stade 974 de Doha, que le PSG s’est épargné, dans les toutes dernières secondes du Trophée des Champions, de revivre cet exercice qui torture les nerfs. mais amplifie les scénarios.

Puisque Paris est décidément invincible sur la scène nationale, même lorsqu’il s’exporte à l’international, Ousmane Dembélé a une nouvelle fois joué les bourreaux d’une ASM qu’il avait déjà battue avec un doublé il y a trois semaines en championnat. A une différence cependant puisqu’il a fallu attendre les dernières secondes du temps additionnel pour voir l’ancien barcelonais, bien servi par Fabian Ruiz au second poteau, convertir la domination parisienne d’une frappe croisée de l’intérieur du droit. lors de ce Trophée des Champions que Monaco avait décidé de lui voler.

Car c’est ni plus ni moins que sa propriété, presque son jouet favori, que Paris remettait en jeu ce dimanche dans le Golfe. Douze victoires au total dans la compétition, dix lors des onze dernières éditions, il suffisait de jeter un œil au palmarès pour comprendre que Paris ne lâcherait pas ainsi sa coupe, sans broncher, encore moins sur les terres de son propriétaire.

Il lui aura cependant fallu se battre jusqu’au bout, encore une fois, pour remporter le 52e titre de son histoire et faire de Marquinhos le joueur le plus titré du club (31e) au terme de son 464e match sous le maillot parisien.

Trois semaines après s’être fait voler à domicile en championnat (2-4), l’AS Monaco a donné du fil à retordre aux champions de France sur tout le terrain, mais surtout dans sa surface où Philippe Köhn, son gardien suisse, a longtemps entretenu le suspense. et dégoûté les attaquants parisiens.

Le tir de Doué, que le gardien suisse a dévié sur sa barre (9e), a en effet donné le ton de ce qui allait suivre : une domination parisienne qui allait se heurter, dans son ensemble, à un mur appelé Köhn. Si, trois semaines après avoir été marqué par les crampons de Singo (suspendu), Donnarumma aura lui aussi joué le bonhomme prudent dans sa cage, c’est son homologue monégasque qui aura longtemps joué le héros en s’imposant successivement face à Dembélé (21e, 23e, 52e), Lee (45e) ou Hakimi (58e, 74e).

Une résistance à toute épreuve ou presque puisqu’elle finira par céder sur la dernière poussée parisienne et cette ultime tentative de Dembélé qui permettra à Paris de trouver le chemin des filets sur son… 28e tir de la partie. Un peu tard, mais finalement juste à temps.

 
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