Dou, à défaut, Premier ministre. Il y aurait de l’unité autour de lui, il pensait qu’il en serait le gage, qu’il en serait le garant. Autour de lui, gauche, droite et centre s’accorderaient pour le bien commun dans une bienveillance citoyenne dont il serait le catalyseur. Son arrivée au pouvoir débarrasserait tout ce que la vie politique comporte de calculs médiocres, d’aveuglement partisan, de mesquinerie. Il serait le bon berger devant qui s’ouvrirait la mer Rouge.
François Bayrou est un croyant. En Dieu et sa bonne étoile. Beaucoup de fierté, mais pas de naïveté dans un tel état d’esprit. Quarante années de vie politique l’ont discrédité. Mais pas découragé. Comme ses débuts malheureux chez Ma ne l’ont pas découragé…
Tous les vendredis à 7h30
Recevez notre sélection d’articles tirés de notre rubrique Débats, pour comprendre les vrais enjeux du monde d’aujourd’hui et de notre société
Merci !
Votre inscription a été prise en compte avec l’adresse email :
Pour découvrir toutes nos autres newsletters, rendez-vous ici : MonCompte
En vous inscrivant, vous acceptez les conditions générales d’utilisation et notre politique de confidentialité.