les buts d’Anguissa et Rrahmani décident

les buts d’Anguissa et Rrahmani décident
les buts d’Anguissa et Rrahmani décident

Dépasser, mais quel effort. Pour une nuit à nouveau seul aux commandes, ce Naples s’impose face aux Ferrari (finale 1-2) et tente de mettre la pression sur l’Atalanta, attendue demain du match contre Empoli : trois points importants malgré une seconde mi-- très difficile, après avoir terminé la première mi-- deux buts d’avance pour l’équipe de Conte, Gênes étant éliminé après six résultats utiles consécutifs. Il a été impossible pour les hommes de Vieira (qui jusqu’à présent avaient récolté trois nuls et une victoire dans sa gestion) de trouver l’égalisation face à un adversaire qui dominait le terrain en première mi--, sauvé par Meret en seconde période, lorsque le Grifone a changé de rythme. et a rouvert le match avec Pinamonti. Anguissa ouvre, qui fait un rappel après le but d’Udine, Rrahmani double. Mais c’est la manœuvre collective et l’intensité du jeu napolitain qui ont obligé les rossoblù à céder en première mi--. Pour Conte – succès numéro 150 au championnat – une victoire avec beaucoup de souffrance, avec une défense sans Buongiorno qui a beaucoup souffert en seconde période. Pour Juan Jesus, une bonne première mi--, mais ensuite l’équipe a eu des ennuis derrière.

victoire reportée

Gênes n’a plus gagné à domicile depuis 211 jours maintenant, dernière journée du dernier championnat, mais ce n’est évidemment pas le bon soir pour rompre le charme. Vieira présente Vitinha comme titulaire, abaissant Miretti vers la gauche (Thorsby à l’extérieur), avec Zanoli sur le couloir opposé. Un 4-3-3 qui en réalité se transforme parfois en un 4-2-3-1 déjà vu contre Turin et Milan, où Badelj et Frendrup font le lien entre la défense et le milieu de terrain et Pinamonti reste l’homme le plus avancé (et isolé ). Naples démarre avec une pression très élevée, qui empêche Gênes de réfléchir et de recommencer. Anguissa pousse fort vers la droite et l’idée de Vieira de maintenir Zanoli et Vitinha en hauteur pour ne pas donner trop d’espace à Di Lorenzo et Olivera échoue vite, car l’intensité de Naples et son 4-3-3 mène à la 5ème minute sur le premier but des hommes de Conte, lorsque le centre de Politano depuis la droite donne à Lukaku une passe en or que l’attaquant se dirige vers la barre transversale, la défense rossoblù ne parvenant pas à gérer la tige le Belge. L’équipe de Vieira ne parvient pas à redémarrer, Naples est féroce dans son pressing et le seul ballon potentiel de but vient d’un tir de Zanoli sur la droite, mais Vitinha est bloqué au moment de frapper le filet et l’action s’efface.

domaine hôte

L’écart entre les deux équipes était trop grand et à la 15ème minute Naples passait : descente sur la droite de McTominay, qui trouvait l’ouverture pour Neres, centre du Brésilien au centre de la surface où Anguissa en élévation dépassait Frendrup et battait Leali. . Le troisième but du milieu de terrain en championnat, validé après contrôle VAR, le deuxième consécutif après celui d’Udine. Le monologue des invités se poursuit et à la 23e minute, Rrahmani double la mise. Coup franc de Lobotka, Rrahmani invente un lob avec un carambole gagnant, qui dépasse Leali. McTominay marque à nouveau, mais le jeu a été arrêté en raison d’un hors-jeu de Politano. Genoa regarde sans pouvoir réagir à cette performance des invités, également parce que Pinamonti est trop isolé et que le reste de l’équipe ne peut pas quitter sa moitié de terrain, écrasée par la fureur de Naples. Ce n’est pas tout : la construction de Naples par le bas fait sortir Pinamonti et l’un des deux ailiers à son tour, laissant ainsi le champ libre à Lobotka et, à son tour, à McTominay et Anguissa, créant toujours une supériorité pour Naples.

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Fureur de Gênes

Pourtant, la fureur de Naples – 60 % de possession à la mi-- – s’arrête là, car le Griffin de la seconde période est complètement différent : plus provocant, organisé, plus tonique. Et Naples est surpris : cent secondes et Pinamonti, assisté de Martin, commet Meret. Qui a dû céder dès la 6ème minute à un tir du même attaquant génois – sixième du championnat – trompé par la touche d’Olivera qui a coupé le numéro un napolitain. Mais le mérite revient ici aussi à Vitinha qui entre dans la surface, contourne Anguissa et sert son coéquipier. C’est le meilleur moment pour l’équipe locale, Naples réagit avec difficulté, descend bas, perd son imprévisibilité, le pressing haut de Grifone fait effet. Bani arrête Politano alors qu’il entre dans la surface, et ici l’équipe de Comte devient trop frénétique. Naples tente de se regrouper, mais à la 20e minute, Gênes est proche d’égaliser grâce à la tête de Badelj : Meret est décisif. Vieira supprime Badelj et Vitinha, fait entrer Thorsby et Ekuban. Conte répond avec Kvaratskhelia et Simeone, Neres et Lukaku à l’extérieur. Le retour du Géorgien donne du répit au jeu de Naples, qui risque cependant un gros risque à la 33e minute en raison d’une grave erreur d’Anguissa, favorisant la conclusion de Pinamonti : Conte fait rage sur le banc. Politano tente de l’extérieur (38′), tandis que Vieira tente la carte de Balotelli, et l’attaquant au carambole force Meret à une déviation difficile suite à une passe décisive de Pnamonti (39′), avant la tentative d’Ekuban (46′), qui trouve le Napoli. le gardien de but reste le protagoniste. Naples fait la fête, Gênes n’a que des regrets.

 
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