Le 1er août 2007, il y a plus de 17 ans, Pascal Schmitt, jeune pizzaiolo, ouvrait La Dolce Vita, rue du Marché. Quelques mois plus tard, quelque peu confiné dans ses murs, il en profite pour fonder un commerce au 8 place Carnot, dans l’ancien bureau de tabac, qui continue de prospérer en s’adaptant au contexte du moment. Ainsi la crise du Covid et les restrictions qui en découlent l’ont contraint à changer ses modes de distribution. Toujours préparées quotidiennement sur place à la main et à partir d’un maximum de produits locaux, les pizzas sont désormais disponibles uniquement dans les distributeurs automatiques en libre-service 24h/24 et 7j/7, chaudes en 3 minutes ou réchauffées à domicile. En plus de Seissan, on les retrouve à Chélan, au coeur du village en bordure de la d.929 mais aussi à Auch, avenue des Pyrénées devant le stade Jacques Fauroux et également à Miramont d’Astarac sur la N .21. Aujourd’hui, à l’aube de ses 40 ans, Pascal a décidé de partir vers d’autres horizons mais laisse son navire entre de bonnes mains. En effet, Anthony Duprat, son collègue, après avoir effectué son apprentissage dans son laboratoire, a décidé de reprendre les rênes de l’entreprise, aidé également par ses parents qui ont longtemps dirigé le tabac presse à Seissan. Anthony, après un début de carrière prometteur dans le sport de haut niveau, a décidé de changer radicalement de voie pour répondre à sa passion pour… la pizza, passion qu’il a découverte presque par hasard lors de son stage de 3ème année chez Pascal, une transmission progressive En l’espace de quelques semaines, Anthony pourra bientôt voler de ses propres ailes, en utilisant les mêmes pratiques que son prédécesseur, en essayant notamment d’innover dans le choix des pizzas. Elle proposera désormais également un service de plats à emporter aux clients pour le déjeuner et le dîner à Seissan.
Le Petit Journal souhaite bonne chance à Pascal pour de nouveaux cieux et bonne chance à Anthony qui assume de nouvelles responsabilités
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