Le secrétaire d’État américain Antony Blinken voit des « signes encourageants » en faveur de l’accord de trêve à Gaza et de la libération des otages. Le Hamas parle de progrès dans les négociations. De son côté, le premier ministre israélien met en garde contre les manipulations de l’organisation palestinienne sur la question des otages. Ce samedi soir, comme chaque semaine, des manifestations ont eu lieu partout en Israël pour la libération des 100 otages encore détenus à Gaza.
Avec notre correspondant à Jérusalem, Michele Paolo
Les familles des otages disent qu’il faut agir et agir vite. Avec un souffle d’optimisme, comme le dit Marlène près de la résidence de Benjamin Netanyahou à Jérusalem, pour un accord pour la libération d’un certain nombre d’otages.
« Cela semble incroyable qu’ils soient là depuis plus d’un an, Marlène croit. Nous ne savons pas combien sont en vie, mais je pense qu’il existe une possibilité d’ouverture. Et peut-être que si le gouvernement était capable de franchir cette étape, ce serait formidable. »
Un accord qui prévoit la libération d’un petit nombre d’otages
Mais l’accord qui émerge ne prévoit la libération que d’un petit nombre d’otages. Et pour Adar, c’est le pire des cas : « Nous devons tous les libérer, sinon les autres mourront définitivement. Je pense que certains sont déjà morts. Je pense que seulement 50 % sont encore en vie et c’est une estimation optimiste. »
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