Selon le procureur de Marseille, le rappeur SCH avait déjà été menacé de mort avant la fusillade qui a tué l’un de ses collaborateurs le 26 août à La Grande-Motte.
Un peu plus de trois mois après le meurtre d’un collaborateur du rappeur SCH, 22 personnes ont été mises en examen notamment pour «assassinat en bande organisée», «tentative d’assassinat par une bande organisée» et «vol en bande organisée», a annoncé le procureur de la République de Marseille, Nicolas Bessone, ce samedi 7 décembre, lors d’une conférence de presse.
Parmi eux, 16 ont été placés en détention provisoire et 6 autres sous contrôle judiciaire. Toutes les personnes ont été arrêtées lundi. L’assassinat a eu lieu le 26 août alors que l’artiste se produisait dans une discothèque de La Grande Motte (Hérault).
Le rappeur déjà menacé de mort
Cette vaste descente de la police judiciaire de Marseille et des gendarmes de Montpellier intervient alors que la puissante DZ Mafia tente de mettre la main sur les établissements de nuit de la région de Montpellier.
Le procureur de Marseille affirme que le rappeur SCH avait déjà reçu des menaces de mort avant la fusillade. Lui et ses proches auraient été victimes d’une tentative d’extorsion de la part de la bande marseillaise.
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