Le mercredi 27 novembre, France 2 propose les deux premiers épisodes de C’est Paris ! (notre avis), la nouvelle série de et avec Dominique Besnehard, producteur de Dix pour cent. Après avoir exploré le monde des agents – son ancien métier – il propose cette fois une immersion dans celui du cabaret. Interprété par Alex Lutz (récemment aperçu dans le rôle de Pierre Bergé dans la série Devenir Karl Lagerfeld sur Disney+) – et Charlotte de Turckheim (transformée pour le rôle), ce nouveau format raconte la comparaison d’un magazine parisien avec les réalités du monde contemporain.
C’est Paris ! : La série de France 2 a été tournée au Paradis Latin
C’est un personnage très connu des fans du Académie des étoilesKamel Ouali, chorégraphe et metteur en scène des spectacles Paradis Latin, qui a proposé le lieu de tournage de C’est Paris !. Interrogé par Télé-Loisirs, il revient sur la genèse de sa collaboration : «Un jour, Dominique [Besnehard, ndlr] il m’a contacté pour me demander de travailler avec lui sur ce projet. J’ai dit: “D’accord, pourquoi ne pas le faire au Paradis Latin ?” J’ai ensuite parlé au propriétaire, Walter Butler, ils se sont rencontrés et voilà !Une aubaine pour le réalisateur Marc Fitoussi qui n’a pas dû chercher bien loin ses futurs danseurs : «La plupart travaillent au Paradis Latinconfirme Kamel Ouali. Certains ont auditionné pour des rôles, comme Nastasia Caruge, qui incarne Justine, que je connais depuis l’âge de 14 ans et qui travaille avec moi depuis toujours.
C’est Paris ! : Un des danseurs a joué Un destin inattenduLe téléfilm de Sonia Rolland
Le chorégraphe poursuit en expliquant que, dès que le directeur de C’est Paris ! en voyant la jeune femme sur scène, il a tout de suite eu envie de la caster. Il faut dire qu’elle est aussi comédienne et a joué, entre autres, danss Un destin inattendu, le téléfilm autobiographique réalisé par Sonia Rolland pour France 2. De son côté, Dominique Besnehard, également interviewé par Télé-Loisirs, se félicite de l’opportunité d’avoir pu installer ses caméras dans un véritable cabaret : «Honnêtement, sans Walter Bultler, nous n’aurions pas pu faire le spectacle car il nous a donné le lieu. Si nous avions dû construire un décor de studio, cela n’aurait pas aussi bien fonctionné. Mais attention, nous ne racontons pas le Paradis Latin, nous sommes Le Tout-Paris ! », explique-t-il.