La candidate LFI Amal Bentounsi incluse dans le dossier pour atteinte à la sécurité publique

La candidate LFI Amal Bentounsi incluse dans le dossier pour atteinte à la sécurité publique
La candidate LFI Amal Bentounsi incluse dans le dossier pour atteinte à la sécurité publique

Jean-Baptiste Marty / Crédit photo : Martin Noda / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP
06h09, le 19 juin 2024modifié pour

La candidate de La France insoumise, Amal Bentounsi, se présente avec l’étiquette Nouveau Front populaire dans la sixième circonscription de Seine-et-Marne. Selon les informations d’Europe 1, elle est connue pour 11 rôles de droit commun et inscrite au fichier des infractions à la sécurité publique.

C’est une phrase écrite en 2015 qui a refait surface avant le premier tour des élections législatives. “On ne peut pas reprocher à un croyant d’être homophobe si sa religion le lui reproche”, c’est ce qu’écrit Amal Bentounsi, aujourd’hui candidate LFI du Nouveau Front populaire dans la sixième circonscription de Seine-et-Marne, sur le compte du collectif « Urgence notre police assassine », qu’elle dirigeait.

Cette sulfureuse militante d’extrême gauche a souvent fait parler de elle, car selon les informations d’Europe 1, Amal Bentounsi est connue pour 11 rôles de droit commun et figure au dossier pour atteinte à la sécurité publique.

Amal Bentounsi a fait de la police son ennemi numéro 1

Le candidat de La France insoumise, âgé de 45 ans, est répertorié pour mouvements extrémistes, mais aussi pour violences urbaines. Depuis la mort en 2012 de son frère, récidiviste tué par un policier lors d’une course-poursuite, elle a fait de la police son ennemi numéro 1.

Et aucune opportunité ne lui échappe : elle noue des liens avec Assa Traoré après l’affaire Adama, et appelle les banlieues à manifester contre les violences policières. Encore lors de l’affaire Nahel où le militant d’extrême gauche a attisé les braises sans jamais apaiser la colère des banlieues.

Participation à un rassemblement anticolonial en 2016

Mais pire encore, l’action d’Amal Bentounsi ne se limite pas à la rue. En août 2016, le militant avait participé à un rassemblement anticolonial aux côtés du groupe La Brigade anti-négrophobie, dont l’un des membres avait tagué la statue de Colbert devant l’Assemblée nationale en 2020.

Elle anime notamment un atelier pour former la résistance contre le « racisme policier ». Cet activisme ne pourrait qu’accroître le désordre à l’Assemblée nationale, si Amal Bentounsi était élue le 7 juillet.

 
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