“Je n’ai rien mangé de la journée.” – .

“Je n’ai rien mangé de la journée.” – .
“Je n’ai rien mangé de la journée.” – .

Dans une interview accordé à Aujourd’hui c’est le football, Lucas Chevalier revient avec sincérité sur sa première titularisation dans un match de Ligue 1. Beaucoup de pression mais aussi un certain relâchement, une première fois qu’il n’oubliera pas de suite.

Une semaine sous pression

« Il faisait chaud… Je savais que j’allais commencer mardi et nous avons joué samedi soir. Petite boule au ventre toute la semaine. J’avais des supporters enthousiastes, j’avais déjà un chant en mon nom. Ce n’est pas le cas m’a intéressé pas de jouer pour jouer, il fallait que je sois bon tout de suite. C’est compliqué de faire une « masterclass » d’entrée, parce qu’on est jeune et qu’on apprend, mais il fallait que je fasse preuve de confiance. Cela a été une semaine très difficile, mais je pense que cela a été plus difficile pour mon fermer seulement pour moi. Parce que c’est quelque chose d’exceptionnel, quelque chose que vous n’avez jamais vécu, quelque chose d’inédit, d’une ampleur que vous n’avez jamais vécue touche. Il y a aussi l’émotion de dire que c’est ton club, ton club préféré. »

Une première en haute tension

« C’est à Marseille, au Vélodrome, 65 000 personnes, il faisait chaud. Même si tu as une saison Ligue 2 derrière, il n’y a pas de match. Je me souviens, je n’ai rien avalé Dans la journée, j’avais l’impression d’être un peu malade, à cause de la pression, du stress. Il m’a fallu 45 minutes pour m’y mettre, car en plus je n’ai pas beaucoup d’opportunités. Mais le premier ballon je le garde par cœur, Bafode Diakité a le ballon, je pense qu’il est pressé, il me passe mais le ballon part vers le point de corner. Alors je laisse mon objectif, je ne me souviens plus si j’ai contrôle ou pas mais j’ai dégagé devant, le ballon a fait 80 mètres.

Je suis dire, “enfin, premier ballon en Ligue 1, un gros dégagement”. Je savais que j’allais le faire, avant le match, je dire dans ma tête, « première balle que je dégage ». Je fais 2-3 arrêts en début de seconde et c’est ça qui m’entraîne et puis je jouer les quinze dernières minutes, super détendues. Et j’ai apprécié, les dernières minutes, j’ai apprécié. Même si on a perdu ce match, je me suis dit, je veux vivre ça chaque week-end, Je ne vais pas céder ma place. »

Crédit photo : Daniel Derajinski/Icon Sport

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Le prix de l’or se dirige vers une hausse trimestrielle ; les investisseurs se tournent vers les données sur l’inflation
NEXT Un débat pas comme les autres entre Trump et Biden ce jeudi – .