Marine Le Pen, chef de file des députés RN à l’Assemblée nationale, anime le JT de 20 heures de vendredi.
Une interview qui intervient deux jours après les réquisitions dans le procès contre les assistants parlementaires européens du Front national.
Il s’agit de son premier entretien depuis que les demandes de l’accusation ont été connues. Quatre huit heures plus tôt, lors du procès contre les assistants parlementaires du RN, Marine Le Pen, chef de file des députés du RN à l’Assemblée nationale, avait appris que le parquet avait requis notamment une peine d’inéligibilité de cinq ans. Il a également demandé de la combiner avec une exécution provisoire, c’est-à-dire une application immédiate, même en cas de recours.
Une annonce qui pourrait voir son éventuelle candidature présidentielle contrariée, à moins que les appels et les décisions de justice ne le permettent ben pour se présenter en 2027. Ces réquisitions ont suscité mercredi une vague de protestations de la part de la droite de l’échiquier politique, dont l’ancien ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin.
Les éléments notables
Minute par minute
EXPLICATIONS
Quelles pourraient être les conséquences de ce processus, notamment dans la perspective des prochaines élections présidentielles ?
QUELLES SONT LES EXIGENCES ?
Le parquet a requis mercredi cinq ans de prison, dont deux ans ferme, ainsi qu’une peine d’inéligibilité de cinq ans contre Marine Le Pen. Une amende de 300 mille euros a également été demandée à son encontre.
C’est dans ce contexte que l’élue RN du Pas-de-Calais répond ce vendredi à Anne-Claire Coudray.