El Campo à la ganaderia Colombeau en Camargue

El Campo à la ganaderia Colombeau en Camargue
El Campo à la ganaderia Colombeau en Camargue

Dimanche dernier, les membres du club taurin d’El Campo se sont retrouvés en Camargue à la ganaderia de Colombeau à côté de Sambuc pour leur campera fiesta annuelle.

Tôt le matin les membres du bureau avaient préparé un petit déjeuner gascon à base d’œufs et de ventrèche cuite à la plancha pour le plus grand plaisir des adhérents et de leurs papilles.

Après avoir bien déjeuné, les aficionados se sont rassemblés autour de la belle placita pour assister à une tenua (sélection par les vaches pour la reproduction) de belle facture.

Maestro Thibault Garcia a operculé des vaches de très bon comportement avec beaucoup de brio et de maîtrise pour le plus grand plaisir d’Emma Colombeau, la jeune maîtresse des lieux et des aficionados.

Il était alors temps de revoir la tenua avec le maestro et l’éleveur où les membres d’El Campo ont pu poser toutes leurs questions avant de passer à un copieux apéritif bien mérité.

En début d’après midi tout ce beau monde s’est retrouvé sous le hangar de la ganaderia pour déguster une excellente paella préparée de la main d’un maestro par Nadine membre du bureau pour une ovation bien méritée.

Après le repas, direction la remorque et le tracteur pour une visite de l’élevage et du campement dans une belle Camargue aux couleurs chatoyantes. Les toros, les novillos, les vaches et leurs veaux paissent en toute tranquillité sous l’oeil bienveillant du grand-père d’Emma, ​​Francis Colombeau, personnage hors du commun et véritable encyclopédie du pays camarguais. Ce que c’est drôle!!!

Avant de rentrer en fin d’après-midi alors qu’il était grand temps de rentrer à Vauvert avant que la tempête menaçante ne nous surprenne. Une belle journée à Campo comme nous en profitons à El Campo.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Gabriel Attal veut débattre avec Jean-Luc Mélenchon plutôt qu’avec Manuel Bompard
NEXT Que dois-je faire pour que ma relation dure ? L’allégorie du tabouret