Où voir un OVNI ? La carte mise à jour du Pentagone révélée

Où voir un OVNI ? La carte mise à jour du Pentagone révélée
Où voir un OVNI ? La carte mise à jour du Pentagone révélée

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Cette carte du Pentagone montre la répartition mondiale des rapports de phénomènes anormaux non identifiés en 2023-2024. Les zones rouges et orange représentent des concentrations plus élevées.

© (Graphique DoD/AARO)

Les observations d’OVNIS — pour Unidentified Flying Object, ou PAN en français pour Unidentified Aerospace Phenomenon — sont un véritable sujet lié à la défense nationale avant d’être un thème associé à l’astronomie et à la possibilité d’une vie extraterrestre. La raison en est évidente : la Terre est bien plus souvent survolée par des satellites, des véhicules militaires, des drones, des ballons sondes, que par d’éventuelles soucoupes volantes !

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Peut-être ne le saviez-vous pas, il existe en un organisme très officiel chargé d’enquêter sur ce phénomène : le Geipan (Groupe d’étude et d’information sur les phénomènes non aérospatiaux). identifié). Celui des États-Unis s’appelle AARO, dont l’acronyme pourrait se traduire par Nationwide Anomaly Resolution Agency. Un nom qui rappellerait presque la série X-Fichiers aux moins jeunes d’entre nous.

Son rapport annuel 2023-2024 est tombé, et malgré certains témoignages venant parfois de législateurs concernant « visites potentielles d’extraterrestres » ou des soupçons « des efforts non divulgués pour recueillir des preuves » (y compris des soupçons d’enquêtes secrètes), le DAA conclut « n’ont aucune preuve d’êtres, d’activités ou de technologies extraterrestres ». Non, les crop circles ne comptent pas !

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ET je ne rentre pas à la maison

« Le projet AARO a résolu avec succès des centaines de cas en sa possession, identifiant des objets banals tels que des ballons, des oiseaux, des drones, des satellites et des avions.a déclaré le directeur du bureau Jon Kosloski dans un communiqué de presse. Seul un très petit pourcentage de signalements à l’AARO sont potentiellement anormaux, mais ce sont des cas qui nécessitent beaucoup de temps, de ressources et une enquête scientifique ciblée de la part de l’AARO et de ses partenaires.

Rappelons qu’en ces temps de très fortes tensions internationales, notamment entre l’Asie et l’Occident (Russie/Ukraine, Chine/USA, etc.), ces questions liées à la surveillance et à la défense de l’espace aérien ne sont pas d’actualité. tout est amusant. Certains se souviennent certainement des ballons sondes qui survolaient le territoire américain, tous abattus en 2023 par l’armée de l’Oncle Sam.

Voici les conclusions du document officiel de l’AARO :

  • 757 signalements ont été reçus par l’agence américaine. Tous les cas traités pourraient être liés à des objets « prosaïques » (on pourrait dire dans ce cas « terrestres » ou liés à notre Terre).

  • 70 % des cas d’observation pourraient être liés à des ballons, 16 % à des drones, 8 % à des oiseaux, 4 % à des satellites et encore 2 % à d’autres oiseaux.

  • L’AARO reconnaît néanmoins que 21 cas méritent une analyse approfondie, car ils pourraient être liés à une activité aérospatiale étrangère… mais terrestre.

  • 444 dossiers n’ont pas été traités car insuffisamment documentés.

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Des flashs du satellite Starlink filmés par un pilote.

©Document Cnes/Geipan

Le DAARO précise que les lumières non identifiées ou les objets en forme d’orbe parfois mentionnés sont couverts dans le sous-ensemble des rapports UAP (par exemple Phénomènes anormaux non identifiés), qui incluent des références à des caractéristiques visuelles. D’autres rapports mentionnent des cylindres, des disques, des triangles, des carrés ou des objets exotiques comme un « boule de feu verte » ou “une méduse avec des lumières clignotantes”.

Une carte des points chauds d’observation a été réalisée par l’AARO. Il montre une surreprésentation des signalements dans quatre grandes zones : le sud-est des États-Unis et le golfe du Mexique, la côte ouest et le nord-ouest du Pacifique, le Moyen-Orient et l’Asie du Nord-Est voisine. du Japon et de la péninsule coréenne. L’agence du Pentagone note que ces zones favorisent un « Biais de collecte géographique basé sur des emplacements proches des ressources militaires américaines et des capteurs opérant à l’échelle mondiale ». En clair, les rapports sont proches des activités des armées américaines, ce qui indique qu’il est alors plus facile de confondre un véhicule militaire américain avec un navire Klingon ou rempli de Predators tuberculés…

Pourtant, cette carte est intéressante : si cela ne vous dérange pas de voyager dans certains des endroits les plus risqués de la planète, vous aurez peut-être la chance d’observer un PAN !

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