Papy Naego, ministre provincial de la Santé, a précisé que les autorités attendent le résultat de l’examen du prélèvement qui sera envoyé à l’Institut National de Recherche Biomédicale de Kinshasa (INRB) pour confirmer le lien avec l’épidémie de mpox.
La population du Sud-Oubangui est appelée à respecter les mesures d’hygiène, ajoute M. Naego.
Longtemps appelée variole du singe, la maladie se transmet, entre autres, par contact sexuel. Elle se caractérise par des éruptions cutanées sur les organes génitaux ou dans la bouche et peut s’accompagner de poussées de fièvre, de maux de gorge ou de douleurs dans les ganglions lymphatiques.
Fin mars, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui avait déjà alerté sur les risques de propagation internationale de l’épidémie, s’était inquiétée d’une « accélération » de la circulation du virus en République démocratique du Congo.
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