La star de « The Substance » se concentre aujourd’hui sur l’hyper sexualisation à laquelle elle a été soumise dans les années 90. Et impossible de ne pas revoir cette séquence télévisée lunaire avec un malaise absolu.
Il est lunaire de revoir cela en 2024.
Voici la vérité : nous sommes en 1995. Demi Moore est à l’affiche d’un film qui sera (malheureusement) considéré comme le plus gros faux pas de sa carrière : Strip-tease par Andrew Bergman. Elle a côtoyé Burt Reynolds, Ving Rhames et Robert Patrick. Mais la vraie star, c’est elle, ou plutôt ce qu’elle représente : le plus grand sex-symbol des années 90.
Car comme vous pouvez le deviner, dans le rôle d’Erin Grant, Demi Moore incarne dans ce film une mère célibataire et strip-teaseuse vivant diverses aventures – mêlant performances « sexy » et représentante du Congrès américain. Pourtant, tout le projet, son origine, et sa promotion, reposent sur ce concept : Demi Moore en strip-teaseuse, à l’heure où elle enchaîne les partitions sulfureuses – un thriller très douteux et olé olé. Harcèlement (où elle harcèle sexuellement Michael Douglas, oui oui) à la vague histoire du triangle amoureux Proposition indécente.
Et comment Demi Moore va-t-elle présenter le film ?
En se rendant sur le plateau du célèbre late show de l’animateur David Letterman, une émission extrêmement populaire outre-Atlantique, pour discuter de ce projet mais surtout… Pour réaliser un strip-tease. Vraiment. En pleine émission de télévision, sous la clameur du public…
Il faut voir la scène… Et en parler.
Quand Demi Moore réalise un strip-tease sous les clameurs du public : 20 ans après, la star témoigne
À la ferveur…
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