la sortie des énergies fossiles n’est pas pour demain

la sortie des énergies fossiles n’est pas pour demain
la sortie des énergies fossiles n’est pas pour demain

Malgré la promesse quasi universelle d’évoluer vers une sortie des hydrocarbures, de nombreux pays se concentrent depuis longtemps sur le pétrole et le gaz.

Lors de la COP28 qui s’est tenue à Dubaï il y a un an, le monde entier s’est mis d’accord, pour la première fois, sur un « transition » vers l’abandon des énergies fossiles. Un an plus tard, la promesse durement gagnée tarde à se concrétiser. L’Azerbaïdjan, qui accueillera cette année la COP29, est même accusé par les ONG d’oublier le sujet pour protéger ses intérêts dans le secteur pétrolier et gazier. Bakou le nie évidemment.

Plusieurs États continuent d’approuver le développement de nouveaux gisements de pétrole et de gaz, et les compagnies pétrolières y investissent plus que jamais. TotalEnergies, qui a lancé six projets en 2024, au Brésil, au Suriname, en Angola, à Oman et au Nigeria, a annoncé qu’il augmenterait sa production d’hydrocarbures de 3 % par an d’ici 2030, principalement du gaz liquéfié (GNL). ” La demande de pétrole augmente », à raison de près de 1 million de barils par jour, soit environ 1 % de la consommation mondiale…

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