Qu’était-ce que ce salon de chocolat à Yvetot qui finalement ne l’était pas ?

Qu’était-ce que ce salon de chocolat à Yvetot qui finalement ne l’était pas ?
Qu’était-ce que ce salon de chocolat à Yvetot qui finalement ne l’était pas ?

Non, il n’y avait pas que du chocolat au salon Choco’n Co, à Yvetot, le jeudi 7 novembre 2024. Contrairement à ce qu’on pourrait penser à première vue, il s’agit d’un salon du chocolat. “C’est vrai que parler d’un salon du chocolat vend plus que d’un salon de l’emploi”reconnaît Cécile Lecanu, coordinatrice territoriale emploi de la région Normandie.

Mais attention, le chocolat, ou plutôt la fève, reste encore le fil rouge de cette rencontre. « On suit le parcours d’une fève de cacao jusqu’au plat final. C’est un prétexte pour attirer les gens à la recherche d’un travail. »

Différents secteurs d’activité

Même si le cacao n’est pas au centre de ce salon de l’emploi, plusieurs secteurs d’activité sont représentés. « Nous avons sept pôles, l’agriculture car on parle de la fève de cacao, le transport, l’import-export, il y a aussi un pôle agroalimentaire, un stand pour la qualité, la sécurité, l’hygiène et l’environnement, un autre dédié au commerce et aussi au stand vente comme centre de restauration »précise l’animateur territorial.



Et sur chaque stand, professionnels de l’industrie et de la formation se réunissent pour proposer des solutions pour l’emploi. « Le but ici est de découvrir et redécouvrir des métiers peu connus, peu connus ou jouissant parfois d’une mauvaise image. D’une certaine manière, cela contribue à améliorer l’image de certains secteurs d’activité ou d’emplois »

Près de 80 personnes rassemblées

Au total, près de 80 personnes se sont rassemblées dans la salle du Vieux Moulin. Même si ce chiffre peut paraître ridicule à certains, il représente déjà une foule nombreuse. « Nous souhaitions avoir des petits groupes pour maintenir une ambiance intimiste entre candidats, recruteurs et formateurs. Cela nous permet de créer une certaine proximité et de faire tomber les barrières »note Cécile Lecanu.

Un constat partagé par Maryline, qui est en pleine réaménagement et semble avoir trouvé ce qu’elle souhaitait. « Cela me permet, une fois mon projet de formation terminé, de trouver des entreprises qui pourraient m’accueillir pour un stage et m’intéresser par la suite. Pour d’autres c’est la première fois : « Comme je ne sais pas encore dans quel secteur je souhaite me diriger, cela me donne une idée de l’éventail des possibilités »conclut Adriano.

 
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