le propriétaire de l’hôtel de luxe Casadelmar à Porto-Vecchio se dit victime d’intimidations et porte plainte

le propriétaire de l’hôtel de luxe Casadelmar à Porto-Vecchio se dit victime d’intimidations et porte plainte
le propriétaire de l’hôtel de luxe Casadelmar à Porto-Vecchio se dit victime d’intimidations et porte plainte

La nouvelle a été révélée par le journal Le mondece mercredi 6 novembre et confirmé à Corse-Matin par le procureur de la République d’Ajaccio, Nicolas Septe. Jean-Noël Marcellesi, promoteur immobilier et propriétaire de l’hôtel de luxe Casadelmar à Porto-Vecchio (Corse du Sud), a porté plainte le 1er novembre pour tentative d’extorsion en bande organisée, menaces de mort et violences. Le parquet a ouvert une enquête confiée à la police judiciaire.

Le parquet d’Ajaccio prend “très au sérieux” la dénonciation de ces faits.

Dans sa plainte, Jean-Noël Marcellesi précise avoir reçu la visite de quatre hommes, dans son agence immobilière de Porto-Vecchio, la veille du dépôt de plainte.

Selon lui, une discussion âpre s’est engagée pour exiger de lui le paiement de 500 000 euros sous forme de racket. Le monde évoque la présence de témoins qui attestent de cette scène. « Nous prenons très au sérieux la dénonciation de ces faits »» a déclaré Nicolas Septe au journal du soir.

Le monde Il révèle également les déclarations faites lors de l’audition du plaignant devant les enquêteurs. Il aurait confié à la police que ses visiteurs avaient fait allusion à l’agression d’un de ses enfants le 17 janvier 2023, lui demandant des comptes.

Toujours deuxième Le mondeune confrontation entre Jean-Noël Marcellesi et l’agresseur de son fils, Antoine Bornea, a été organisée par les enquêteurs une semaine avant la tentative d’extorsion présumée. Ce dernier, dont l’avocat n’a pu être joint Corse-Matinl’enquête se poursuit, visant notamment à déterminer le mobile d’une violente rixe survenue dans un atelier de carrosserie à Porto-Vecchio, au cours de laquelle le fils de Jean-Noël Marcellesi a été grièvement blessé. Sous contrôle judiciaire, Antoine Bornea ne peut pas se rendre en Corse.

Les hommes de la police judiciaire qui mènent les investigations dans le cadre de l’enquête en flagrant délit ouverte il y a sept jours travaillent sur l’hypothèse d’un lien entre ces deux affaires.

Contacté par Corse-Matinl’avocate du plaignant, Me Valérie Vincenti, n’a pas souhaité s’exprimer à ce stade, “afin de ne pas interférer avec les enquêtes en cours”.

Belgique

 
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